Le régime syrien, une partie de l’opposition, la Russie et la Turquie ont annoncé un accord de cessez-le-feu en Syrie, jeudi 29 décembre. Les différentes parties se sont mises d’accord pour « un arrêt total des opérations militaires » dans tout le pays à partir de jeudi à minuit. « Un événement s’est passé il y a quelques heures. Non seulement nous l’avons attendu depuis longtemps, mais nous avons aussi beaucoup travaillé pour nous en approcher », a déclaré le président russe, Vladimir Poutine.
Dans un communiqué, l’armée syrienne a précisé que l’accord de cessez-le-feu ne concernait ni l’Etat islamique (EI) ni le Front Fatah Al-Cham (anciennement Front Al-Nosra, émanation d’Al-Qaida) ni les groupes qui leur sont liés. Ankara et Moscou seront les garants de cette trêve.
De son côté, la Coalition nationale syrienne (CNS), la principale formation de l’opposition en exil, a également apporté son soutien au cessez-le-feu, selon son porte-parole Ahmad Ramadan :
« La coalition nationale apporte son soutien à l’accord, et appelle toutes les parties à s’y soumettre. »
Le ministre de la Défense russe, Sergueï Choïgou, a précisé que des groupes représentant 62 000 rebelles armés avaient signé l’accord. « Ce sont les forces principales de l’opposition armée », a-t-il assuré.
Soutien d’une partie de l’opposition
En annonçant cet accord de cessez-le-feu, Vladimir Poutine a également annoncé le lancement des négociations internationales de paix avec la Turquie et l’Iran. « Trois documents ont été signés, a-t-il précisé. Le premier est entre le gouvernement syrien et l’opposition armée sur le cessez-le-feu sur l’ensemble du territoire syrien. » Le deuxième porte sur la mise en place de mesures visant à contrôler le respect de la trêve.
« Le troisième document est une déclaration de la volonté [des parties au conflit] de lancer des négociations de paix sur le règlement syrien », a ajouté le président russe.
Vladimir Poutine a par ailleurs annoncé une « réduction » de la présence militaire russe en Syrie, où l’armée mène une campagne de frappes aériennes en soutien au régime de Damas depuis septembre 2015. « Je suis d’accord avec la proposition du ministère de la défense sur une réduction de notre présence militaire en Syrie », a fait savoir M. Poutine. Mais « nous allons absolument poursuivre la lutte contre le terrorisme international», a-t-il précisé.
Dans un communiqué, l’armée syrienne a précisé que l’accord de cessez-le-feu ne concernait ni l’Etat islamique (EI) ni le Front Fatah Al-Cham (anciennement Front Al-Nosra, émanation d’Al-Qaida) ni les groupes qui leur sont liés. Ankara et Moscou seront les garants de cette trêve.
De son côté, la Coalition nationale syrienne (CNS), la principale formation de l’opposition en exil, a également apporté son soutien au cessez-le-feu, selon son porte-parole Ahmad Ramadan :
« La coalition nationale apporte son soutien à l’accord, et appelle toutes les parties à s’y soumettre. »
Le ministre de la Défense russe, Sergueï Choïgou, a précisé que des groupes représentant 62 000 rebelles armés avaient signé l’accord. « Ce sont les forces principales de l’opposition armée », a-t-il assuré.
Soutien d’une partie de l’opposition
En annonçant cet accord de cessez-le-feu, Vladimir Poutine a également annoncé le lancement des négociations internationales de paix avec la Turquie et l’Iran. « Trois documents ont été signés, a-t-il précisé. Le premier est entre le gouvernement syrien et l’opposition armée sur le cessez-le-feu sur l’ensemble du territoire syrien. » Le deuxième porte sur la mise en place de mesures visant à contrôler le respect de la trêve.
« Le troisième document est une déclaration de la volonté [des parties au conflit] de lancer des négociations de paix sur le règlement syrien », a ajouté le président russe.
Vladimir Poutine a par ailleurs annoncé une « réduction » de la présence militaire russe en Syrie, où l’armée mène une campagne de frappes aériennes en soutien au régime de Damas depuis septembre 2015. « Je suis d’accord avec la proposition du ministère de la défense sur une réduction de notre présence militaire en Syrie », a fait savoir M. Poutine. Mais « nous allons absolument poursuivre la lutte contre le terrorisme international», a-t-il précisé.