Massaken Hanano a une valeur symbolique, car c’est le premier secteur d’Alep occupé par les rebelles lorsqu’ils sont entrés dans la ville à partir des zones rurales environnantes, en 2012. C’est aussi le plus grand quartier de l’ancienne capitale économique de Syrie en termes de superficie.
Les rebelles ont dû reculer devant la puissance de feu de l’armée syrienne et de ses alliés, et des assauts ciblés lancés par des troupes d’élite, appuyés par des avions et des hélicoptères, et bénéficiant d’une intense couverture d’artillerie.
Les rebelles, dont des combattants de Fateh al-Cham, l’ancienne branche d’al-Qaïda en Syrie, se sont repliés au nord vers Haidariya, et à l’est vers Sakhour. Si les troupes gouvernementales poursuivent leur progression vers ce quartier, elles auront réussi à couper en deux zones, nord et sud, la région contrôlée par les groupes armés.
Pour disperser les forces rebelles, estimées entre 7 000 et 10 000 hommes, l’armée syrienne procède à des opérations de diversion sur la quinzaine de fronts que compte Alep.
Encerclés par plus de 25 000 hommes, des soldats syriens, mais aussi des combattants libanais du Hezbollah, des Gardiens de la révolution iraniens et des miliciens chiites irakiens, les rebelles n’ont plus aucune voie de ravitaillement. Leur situation est désespérée.
Les rebelles ont dû reculer devant la puissance de feu de l’armée syrienne et de ses alliés, et des assauts ciblés lancés par des troupes d’élite, appuyés par des avions et des hélicoptères, et bénéficiant d’une intense couverture d’artillerie.
Les rebelles, dont des combattants de Fateh al-Cham, l’ancienne branche d’al-Qaïda en Syrie, se sont repliés au nord vers Haidariya, et à l’est vers Sakhour. Si les troupes gouvernementales poursuivent leur progression vers ce quartier, elles auront réussi à couper en deux zones, nord et sud, la région contrôlée par les groupes armés.
Pour disperser les forces rebelles, estimées entre 7 000 et 10 000 hommes, l’armée syrienne procède à des opérations de diversion sur la quinzaine de fronts que compte Alep.
Encerclés par plus de 25 000 hommes, des soldats syriens, mais aussi des combattants libanais du Hezbollah, des Gardiens de la révolution iraniens et des miliciens chiites irakiens, les rebelles n’ont plus aucune voie de ravitaillement. Leur situation est désespérée.