Sur un autre front, un raid aérien a frappé mardi un siège de Fateh al-Cham à Idleb (nord-ouest), tuant selon une ONG 25 membres de cette ex-branche syrienne d'Al-Qaïda qui est exclue de l'accord de cessez-le-feu.
Comme lors des précédentes trêves, qui avaient volé en éclats après quelques jours, les groupes jihadistes Fatah al-Cham et Etat islamique (EI) sont exclus de l'accord.
Depuis l'entrée en vigueur de la trêve, les violences ont cessé dans la plupart des régions. Mais les combats ont continué dans la localité rebelle de Wadi Barada, un secteur clé où se trouvent les principales sources d'approvisionnement en eau potable pour les quatre millions d'habitants de Damas et de ses environs.
L'offensive des troupes du régime à Wadi Barada a poussé des groupes rebelles à geler leur participation aux discussions d'Astana.
Ces groupes ont accusé le régime de "commettre de fréquentes violations, notamment dans les régions de Wadi Barada et de la Ghouta orientale".
"Ces violations se poursuivant, les factions rebelles annoncent le gel de toute discussion liée aux négociations d'Astana", ont-ils affirmé dans un communiqué lundi soir, en prévenant qu'à moins "d'un retour à la situation antérieure, l'accord (de trêve) sera considéré nul et non avenu".
C'est la Russie, alliée du régime, et la Turquie, soutien des rebelles, qui ont parrainé l'accord ayant permis l'entrée en vigueur le 30 décembre d'une nouvelle trêve entre insurgés et régime, en vue de la tenue en janvier de négociations à Astana, au Kazakhstan.
Le conflit en Syrie a fait plus de 310.000 morts et des millions de réfugiés.
Comme lors des précédentes trêves, qui avaient volé en éclats après quelques jours, les groupes jihadistes Fatah al-Cham et Etat islamique (EI) sont exclus de l'accord.
Depuis l'entrée en vigueur de la trêve, les violences ont cessé dans la plupart des régions. Mais les combats ont continué dans la localité rebelle de Wadi Barada, un secteur clé où se trouvent les principales sources d'approvisionnement en eau potable pour les quatre millions d'habitants de Damas et de ses environs.
L'offensive des troupes du régime à Wadi Barada a poussé des groupes rebelles à geler leur participation aux discussions d'Astana.
Ces groupes ont accusé le régime de "commettre de fréquentes violations, notamment dans les régions de Wadi Barada et de la Ghouta orientale".
"Ces violations se poursuivant, les factions rebelles annoncent le gel de toute discussion liée aux négociations d'Astana", ont-ils affirmé dans un communiqué lundi soir, en prévenant qu'à moins "d'un retour à la situation antérieure, l'accord (de trêve) sera considéré nul et non avenu".
C'est la Russie, alliée du régime, et la Turquie, soutien des rebelles, qui ont parrainé l'accord ayant permis l'entrée en vigueur le 30 décembre d'une nouvelle trêve entre insurgés et régime, en vue de la tenue en janvier de négociations à Astana, au Kazakhstan.
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