A Alep, le temps presse, car les quelques 40 000 civils toujours assiégés dans la zone Est de la cité manquent de tout, d'eau, de nourriture, de médicaments... Une situation d'autant plus difficile à supporter que l'hiver s'est installé avec des températures glaciales la nuit. Les habitants n'ont plus que des immeubles en ruines pour dormir. D'après plusieurs témoignages, ils n'ont plus que des dattes à manger pour subsister.
L'Iran bloque
Pour la rébellion, comme pour l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), c'est l'Iran qui bloque et qui empêche la reprise des opérations d'évacuation. Téhéran effectivement, fait le lien entre le siège d'Alep et celui de deux localités chiites, Foua et Kafraya, situées dans la région d'Idleb, qui sont, elles, contrôlées par les rebelles. L'Iran, comme Damas d'ailleurs, exigent l'évacuation des quelques 4 000 civils qui s'y trouvent.
Avancée ?
Les négociations n'ont donc pas abouti jusqu'alors. Certains émissaires, hier samedi, ont parlé de l'imminence d'un accord, mais rien ne s'est concrétisé. Une avancée tout de même : une cinquantaine de bus seraient entrés hier soir dans Foua et Kafraya. Le signe peut-être d'une prochaine évacuation qui pourrait - par ricochet - débloquer la situation à Alep.
L'Iran bloque
Pour la rébellion, comme pour l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), c'est l'Iran qui bloque et qui empêche la reprise des opérations d'évacuation. Téhéran effectivement, fait le lien entre le siège d'Alep et celui de deux localités chiites, Foua et Kafraya, situées dans la région d'Idleb, qui sont, elles, contrôlées par les rebelles. L'Iran, comme Damas d'ailleurs, exigent l'évacuation des quelques 4 000 civils qui s'y trouvent.
Avancée ?
Les négociations n'ont donc pas abouti jusqu'alors. Certains émissaires, hier samedi, ont parlé de l'imminence d'un accord, mais rien ne s'est concrétisé. Une avancée tout de même : une cinquantaine de bus seraient entrés hier soir dans Foua et Kafraya. Le signe peut-être d'une prochaine évacuation qui pourrait - par ricochet - débloquer la situation à Alep.