Talla Sylla à la marche des jeunes du FSS
Talla Sylla a appelé les populations à se mobiliser et à constituer un «large rassemblement pour renverser Abdoulaye Wade ». Selon Talla Sylla, «le Sénégal est à la croisée des chemins, l’heure est à l’action, personne ne doit se comporter comme un spectateur». Le leader de l’Alliance Jëf-jël a invité «les sénégalais à s’organiser dans leurs villages et dans leurs lieux de travail, non pas pour les marches habituelles jusqu’à la RTS mais pour aller faire sortir Abdoulaye Wade du palais (sic)». Tout comme ses camarades du Front Siggil Sénégal, il a estimé que «le pays va mal, que les citoyens sont fatigués parce qu’il y a trop de difficultés au Sénégal».
Sous les ovations et les cris de joie des jeunes du Front Siggil Sénégal, le leader du Jëf-jël n’a pas manqué de mots pour critiquer la démocratie au Sénégal. « Abdoulaye Wade nous a imposé une démocratie sans élection depuis qu’il est au pouvoir. Personne n’est plus sûr qu’il y aura encore des élections dans ce pays. A chaque fois qu’une date est fixée pour les élections, chacun commence à se demander si elles vont vraiment se tenir» a-t-il martelé. Pour Talla Sylla, «la situation dans laquelle se trouve le Sénégal ne doit plus être considérée comme un jeu des partis de l’opposition et de ceux du pouvoir mais comme une affaire de survie à laquelle doivent faire face tous les sénégalais».
A côté du leader de l’alliance Jëf-jël, il y avait d’autres chefs de partis comme El Hadj Momar Samb du Rassemblement des travailleurs Africains/Sénégal (RTA/S), Doudou Issa Niass du Parti socialiste et quasiment tous les responsables de jeunesses des formations politiques de l’opposition a l’exception de Barthelemy Dias qui pourtant s’est le plus illustré dans les médias.
Sous les ovations et les cris de joie des jeunes du Front Siggil Sénégal, le leader du Jëf-jël n’a pas manqué de mots pour critiquer la démocratie au Sénégal. « Abdoulaye Wade nous a imposé une démocratie sans élection depuis qu’il est au pouvoir. Personne n’est plus sûr qu’il y aura encore des élections dans ce pays. A chaque fois qu’une date est fixée pour les élections, chacun commence à se demander si elles vont vraiment se tenir» a-t-il martelé. Pour Talla Sylla, «la situation dans laquelle se trouve le Sénégal ne doit plus être considérée comme un jeu des partis de l’opposition et de ceux du pouvoir mais comme une affaire de survie à laquelle doivent faire face tous les sénégalais».
A côté du leader de l’alliance Jëf-jël, il y avait d’autres chefs de partis comme El Hadj Momar Samb du Rassemblement des travailleurs Africains/Sénégal (RTA/S), Doudou Issa Niass du Parti socialiste et quasiment tous les responsables de jeunesses des formations politiques de l’opposition a l’exception de Barthelemy Dias qui pourtant s’est le plus illustré dans les médias.