« Pour l’instant, TFM n’est accessible qu’à Dakar et environs. Nous attendons donc de l’Agence de régulations des télécommunications et des postes, les canaux nécessaires à une diffusion plus large à travers tout le pays », c’est une précision de Youssou Ndour, hier dans son discours à l’occasion du lancement officiel du démarrage de sa télé.
Le combat a été long et l’artiste semble l’avoir toujours à travers la gorge, « après plus de deux ans d’incompréhension, de déception et d’espoir, voilà enfin arrivé le moment que nous attendions tous : le démarrage des programmes de la Télévision Futurs Medias ».
Mais, il constate qu’il ne pouvait pas être autrement, « dans un monde de plus en plus affecté par la vitesse de l’information et la force des images qui nous parlent, il est heureux de constater, que l’Etat du Sénégal a pris, le 11 mai 2010, la bonne décision d’autoriser la diffusion de TFM. Il ne pouvait en être autrement. Ne pas aller dans ce sens aurait été contraire à l’esprit et à la liberté d’entreprendre. Mais, il convient de dire aussi que l’aboutissement d’un projet au Sénégal, passe par la souffrance et parfois le découragement. Une réflexion s’impose afin que se réalise le rêve sénégalais ».
Le soutien était de taille comme tous ces signataires, « quant à vous, chers compatriotes, qui avaient été 2 millions à signer la pétition pour soutenir TFM, recevez toute ma gratitude et sachez que TFM sen télé la, yen ako moom (c’est votre télé) ».
Le combat a été long et l’artiste semble l’avoir toujours à travers la gorge, « après plus de deux ans d’incompréhension, de déception et d’espoir, voilà enfin arrivé le moment que nous attendions tous : le démarrage des programmes de la Télévision Futurs Medias ».
Mais, il constate qu’il ne pouvait pas être autrement, « dans un monde de plus en plus affecté par la vitesse de l’information et la force des images qui nous parlent, il est heureux de constater, que l’Etat du Sénégal a pris, le 11 mai 2010, la bonne décision d’autoriser la diffusion de TFM. Il ne pouvait en être autrement. Ne pas aller dans ce sens aurait été contraire à l’esprit et à la liberté d’entreprendre. Mais, il convient de dire aussi que l’aboutissement d’un projet au Sénégal, passe par la souffrance et parfois le découragement. Une réflexion s’impose afin que se réalise le rêve sénégalais ».
Le soutien était de taille comme tous ces signataires, « quant à vous, chers compatriotes, qui avaient été 2 millions à signer la pétition pour soutenir TFM, recevez toute ma gratitude et sachez que TFM sen télé la, yen ako moom (c’est votre télé) ».
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