« Réduction de la nocivité du tabac : Passerelle vers une Afrique sans fumée ? ». C’est le thème du séminaire portant sur la réduction des méfaits du tabac, de la nicotine qui s’est tenu du 13 au 14 août à Johannesburg (Afrique du Sud), organisé par le Réseau des Journalistes Observateurs de l’Industrie de la Nicotine et du Tabac (Rejoint) dans la partie francophone de l'Afrique.
Ouvrant la série des communications, le Professeur Praneet Valodia, pharmacologue enseignant en sciences de la santé a fait savoir que la réduction de la nocivité du tabac permet de minimiser l’aspect négatif. « S’il y a quelqu’un qui est indépendant de l’opium par exemple, il y a des interventions de réduction. L’on ne dit pas d’arrêter définitivement de fumer, mais de minimiser la portée des dommages. Ce qui signifie indirectement qu’il faut arrêter de fumer », explique –t-il, dans « fratmat.info ».
Mais, selon lui, la portée du message de réduction n’est pas perçue de la même manière entre une personne qui vit en milieu aisé et celle qui vit dans la pauvreté.
Il poursuit : « des soutiens existent dans la réduction du tabac. Et le public doit avoir accès à des produits saints, des produits qui sécurisent. C’est en cela qu’il appelle à l’organisation d’un panel entre scientifiques pour confirmer ou infirmer des preuves que le tabac utilisé n’est pas dangereux pour la santé et peut conduire à la longue l’individu à une indépendance du tabac. »
Cependant, ce professionnel de la santé et partisans anti-tabac souhaitent la création d’un organe pour l’arbitrage avec la caution du gouvernement afin de statuer sur les résultats scientifiques présentés. Car, pense-t-il, la réduction de la nocivité de la nicotine ne doit pas être seulement vue du point de vue des interventions, mais aussi du point de vue des politiques de santé publique.
Ouvrant la série des communications, le Professeur Praneet Valodia, pharmacologue enseignant en sciences de la santé a fait savoir que la réduction de la nocivité du tabac permet de minimiser l’aspect négatif. « S’il y a quelqu’un qui est indépendant de l’opium par exemple, il y a des interventions de réduction. L’on ne dit pas d’arrêter définitivement de fumer, mais de minimiser la portée des dommages. Ce qui signifie indirectement qu’il faut arrêter de fumer », explique –t-il, dans « fratmat.info ».
Mais, selon lui, la portée du message de réduction n’est pas perçue de la même manière entre une personne qui vit en milieu aisé et celle qui vit dans la pauvreté.
Il poursuit : « des soutiens existent dans la réduction du tabac. Et le public doit avoir accès à des produits saints, des produits qui sécurisent. C’est en cela qu’il appelle à l’organisation d’un panel entre scientifiques pour confirmer ou infirmer des preuves que le tabac utilisé n’est pas dangereux pour la santé et peut conduire à la longue l’individu à une indépendance du tabac. »
Cependant, ce professionnel de la santé et partisans anti-tabac souhaitent la création d’un organe pour l’arbitrage avec la caution du gouvernement afin de statuer sur les résultats scientifiques présentés. Car, pense-t-il, la réduction de la nocivité de la nicotine ne doit pas être seulement vue du point de vue des interventions, mais aussi du point de vue des politiques de santé publique.
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