Le mécontentement s'amplifie dans le secteur de la boulangerie. Les acteurs dudit secteur, qui ont décidé la suspension de leur plan d'actions initiale durant la période de Tabaski, suite à l'intervention d'un grand guide religieux du pays.
« Suite à l'intervention d'un grand guide religieux du pays, conscient de la souffrance des consommateurs en cette veille de tabaski et afin d'éviter toutes interprétations pour une production en quantité suffisante du format supérieur, la FNBS et la RBS décident, la suspension de leur plan d'actions initiale durant la période de Tabaski, demandent aux boulangers de produire à partir du 26 juillet 2021 en quantité suffisante les formats aux prix de 100 FCFA et de 200 FCFA les vendre au niveau de leur boulangerie et de leurs points de vente agréés ou toutes autres surfaces commerciales spécialement aménagées, conformément aux arrêtés d'applications », a déclaré Amadou Gaye président de la Fédération Nationale des Boulangers du Sénégal (FNBS).
Mieux martèle M. Gaye : « Même si, le format de 190 grammes à 150 F demeure obligatoire, l'Etat ne peut nous imposer sur la quantité à produire sur ce format. Ces formats de 100 F et de 200 F vont nous permettre de diminuer nos charges de production et d'avoir une meilleure rentabilité dans l'attente de l'application des textes qui régissent la boulangerie. Mais nous savons, tel que conçu, le décret d'application effective est sous la responsabilité des gouverneurs qui doivent impliquer d'avantage les autres services techniques (police, gendarmerie, service d'hygiène, environnement). Car ils président les comités techniques de suivi du secteur de la boulangerie ».
Conscient de l'impact économique et social de ce secteur stratégique dans le développement du pays, la FNBS et la RBS, entendent prévenir toute crise qui pourrait discréditer durablement la profession.
Selon Amadou Gaye, le non-respect de cette réglementation, va leur replonger dans un coma plus profond. « Le non-respect de cette réglementation va nous replonger dans un coma plus profond, une faillite totale. Nous demandons solennellement au président de la République, qui ne nous a jamais reçus, malgré nos multiples demandes d'audience, de nous recevoir pour qu'il puisse avoir une meilleure compréhension de nos revendications. Cette anarchie dans le secteur doit cesser et nous appelons à la responsabilité de l'Etat », dit-il.
« Suite à l'intervention d'un grand guide religieux du pays, conscient de la souffrance des consommateurs en cette veille de tabaski et afin d'éviter toutes interprétations pour une production en quantité suffisante du format supérieur, la FNBS et la RBS décident, la suspension de leur plan d'actions initiale durant la période de Tabaski, demandent aux boulangers de produire à partir du 26 juillet 2021 en quantité suffisante les formats aux prix de 100 FCFA et de 200 FCFA les vendre au niveau de leur boulangerie et de leurs points de vente agréés ou toutes autres surfaces commerciales spécialement aménagées, conformément aux arrêtés d'applications », a déclaré Amadou Gaye président de la Fédération Nationale des Boulangers du Sénégal (FNBS).
Mieux martèle M. Gaye : « Même si, le format de 190 grammes à 150 F demeure obligatoire, l'Etat ne peut nous imposer sur la quantité à produire sur ce format. Ces formats de 100 F et de 200 F vont nous permettre de diminuer nos charges de production et d'avoir une meilleure rentabilité dans l'attente de l'application des textes qui régissent la boulangerie. Mais nous savons, tel que conçu, le décret d'application effective est sous la responsabilité des gouverneurs qui doivent impliquer d'avantage les autres services techniques (police, gendarmerie, service d'hygiène, environnement). Car ils président les comités techniques de suivi du secteur de la boulangerie ».
Conscient de l'impact économique et social de ce secteur stratégique dans le développement du pays, la FNBS et la RBS, entendent prévenir toute crise qui pourrait discréditer durablement la profession.
Selon Amadou Gaye, le non-respect de cette réglementation, va leur replonger dans un coma plus profond. « Le non-respect de cette réglementation va nous replonger dans un coma plus profond, une faillite totale. Nous demandons solennellement au président de la République, qui ne nous a jamais reçus, malgré nos multiples demandes d'audience, de nous recevoir pour qu'il puisse avoir une meilleure compréhension de nos revendications. Cette anarchie dans le secteur doit cesser et nous appelons à la responsabilité de l'Etat », dit-il.