Désormais, Talla Sylla n’est plus le président de l’alliance Jël-Jël. Il s’est retiré pour se présenter pour solliciter le suffrage des Sénégalais.
«J'ai décidé de me retirer de la Présidence de l'Alliance Jëf Jël et de solliciter l'investiture de l'Alliance Jëf Jël pour l'élection présidentielle du 26 février 2012», peut-on lire dans un communiqué parvenu à notre rédaction.
Selon le désormais ex-résident de l’Alliance Jël-Jël le futur Président de la République doit être à «équidistance des partis politiques» conformément aux dispositions prévues par le projet de charte fondamentale proposé par notre parti à la suite des Rencontres citoyennes.
Ce retrait, explique-t-il répond «aux réformes institutionnelles contenues dans la Charte de gouvernance démocratique issue des Assises nationales».
A noter que le 13e conseil national de l’Alliance Jël-Jël «a engagé» Talla Sylla à être candidat à l'investiture de Bennoo Taxawal Senegaal pour la Présidentielle de 2012. L’on indique dans le communiqué que c’est «après une analyse approfondie» de la situation nationale qu’il a pris conscience de la nécessité d'opérer des ruptures majeures dans la façon de faire la politique au Sénégal.
«J'ai décidé de me retirer de la Présidence de l'Alliance Jëf Jël et de solliciter l'investiture de l'Alliance Jëf Jël pour l'élection présidentielle du 26 février 2012», peut-on lire dans un communiqué parvenu à notre rédaction.
Selon le désormais ex-résident de l’Alliance Jël-Jël le futur Président de la République doit être à «équidistance des partis politiques» conformément aux dispositions prévues par le projet de charte fondamentale proposé par notre parti à la suite des Rencontres citoyennes.
Ce retrait, explique-t-il répond «aux réformes institutionnelles contenues dans la Charte de gouvernance démocratique issue des Assises nationales».
A noter que le 13e conseil national de l’Alliance Jël-Jël «a engagé» Talla Sylla à être candidat à l'investiture de Bennoo Taxawal Senegaal pour la Présidentielle de 2012. L’on indique dans le communiqué que c’est «après une analyse approfondie» de la situation nationale qu’il a pris conscience de la nécessité d'opérer des ruptures majeures dans la façon de faire la politique au Sénégal.