Depuis 2007, on assiste à une recrudescence des attaques commises sur des paisibles citoyens dont le seul péché est d’aller pêcher dans le fleuve Gambie, par un animal plus que sauvage. Le mammifère est à sa 25e victime, soit 24 morts et un blessé grave. Les abords de l’eau son devenus des lieux d’insécurité et de risques. En effet, la psychose qui s’y est installée, n’a d’égale que la sauvagerie d’un hippopotame qui n’hésite jamais à s’en prendre aux riverains. Les plus malchanceux sont tués. Siradio Fall, 21ans, est un miraculé. Il a survécu à une attaque de l’hippopotame dans le fleuve Gambie, alors qu’il pêchait tranquillement. Son compagnon a été emporté par le mammifère. Se prononçant sur les agissements de féroce mammifère, un agent des Eaux et forêts et chasse révèle que « sa hiérarchie attend de recevoir l’aval des autorités compétentes pour envisager des mesures appropriées visant à mettre un terme aux dérives du tueur ».
L’agent qui a requis l’anonymat, prévoit deux options: « Soit chasser l’animal, soit tout bonnement l’abattre ». Par ailleurs, il a confié que cet hippopotame a été vaincu et chassé de sa communauté par un autre mâle dominant. Une thèse qu’il atteste par le fait qu’ «habituellement, les hippopotames vivent en communauté et les femelles ne sont approchées que par un seul mâle, qui chasse ses concurrents ».
Aux yeux des riverains du fleuve Gambie, la présence de cet hippopotame n’a qu’une seule explication : « Elle est mystique », rapporte « L’Observateur ».
L’agent qui a requis l’anonymat, prévoit deux options: « Soit chasser l’animal, soit tout bonnement l’abattre ». Par ailleurs, il a confié que cet hippopotame a été vaincu et chassé de sa communauté par un autre mâle dominant. Une thèse qu’il atteste par le fait qu’ «habituellement, les hippopotames vivent en communauté et les femelles ne sont approchées que par un seul mâle, qui chasse ses concurrents ».
Aux yeux des riverains du fleuve Gambie, la présence de cet hippopotame n’a qu’une seule explication : « Elle est mystique », rapporte « L’Observateur ».