Depuis quelques temps on assiste à une recrudescence de la violence commise sur les malades mentaux. Ces violences sont mortelles et certains de leurs organes prélevés. La dernière en date remonte dans la nuit du lundi 3 février 2014. C'est un homme âgé de 45 ans gisait dans une mare de sans et couché sur le dos. Après constat des pandores, le corps a été acheminé à la morgue du centre hospitalier régional par les sapeurs-pompiers.
Le certificat de genre de mort établi par le chirurgien, Dr Sogo Millogo, a révélé que la tête du malade mental non encore identifié a été fracassée avant d’être égorgé. Pis, les résultats de l’homme de l’art révèlent que la pomme d’Adam de la victime a été emportée. Des faits imputables à un réseau de trafic d’organes ou d’adeptes du mysticisme. Ce crime odieux porte à trois (3), le nombre de malades mentaux tués et les organes prélevés.
Dans les colonnes du journal « L’Observateur », le jeudi 23 janvier dernier, A.S âgé de 45 ans un malade mental errant, originaire du département de Vélingara, a été sauvagement assassiné dans des conditions atroces au quartier Médina Couran. Certains de ses organes ont été emportés. Cette découverte a été précédée par une autre et pas des moindres. A. Thiam, âgé de 65 ans, a été victime d’un lâche assassinat dans le quartier périphérique de Saré Guilmél. La victime à été retrouvée dans la journée du samedi 16 novembre 2013. Elle est battue à mort, brûlée et traînée sur une distance de 30 mètres, dans les broussailles, derrière la caserne des sapeurs pompiers.
Ce qui a l'ire de courroucer le président de la Ligue Sénégalaise de Défense des Droits de l'Hommes (LSDH), Assane Dioma Ndiaye qui dénonce le phénomène et interpelle l'Etat par rapport à son rôle et devoir de protéger les citoyens.
Le certificat de genre de mort établi par le chirurgien, Dr Sogo Millogo, a révélé que la tête du malade mental non encore identifié a été fracassée avant d’être égorgé. Pis, les résultats de l’homme de l’art révèlent que la pomme d’Adam de la victime a été emportée. Des faits imputables à un réseau de trafic d’organes ou d’adeptes du mysticisme. Ce crime odieux porte à trois (3), le nombre de malades mentaux tués et les organes prélevés.
Dans les colonnes du journal « L’Observateur », le jeudi 23 janvier dernier, A.S âgé de 45 ans un malade mental errant, originaire du département de Vélingara, a été sauvagement assassiné dans des conditions atroces au quartier Médina Couran. Certains de ses organes ont été emportés. Cette découverte a été précédée par une autre et pas des moindres. A. Thiam, âgé de 65 ans, a été victime d’un lâche assassinat dans le quartier périphérique de Saré Guilmél. La victime à été retrouvée dans la journée du samedi 16 novembre 2013. Elle est battue à mort, brûlée et traînée sur une distance de 30 mètres, dans les broussailles, derrière la caserne des sapeurs pompiers.
Ce qui a l'ire de courroucer le président de la Ligue Sénégalaise de Défense des Droits de l'Hommes (LSDH), Assane Dioma Ndiaye qui dénonce le phénomène et interpelle l'Etat par rapport à son rôle et devoir de protéger les citoyens.