La première et la plus urgente, c’est de sécuriser les déficients mentaux qui ont été dénombrés en vue de prendre en charge leur sécurité. Pour Abdoulaye Daouda Diallo, « aujourd’hui, il y a urgence ». D’où la nécessité de leur trouver un site d’hébergement en attendant la réfection du centre de Djikoré où le ministre de la santé a décidé à partir du lundi de reprendre les travaux et en même temps envoyer un médecin qui s’occupera de la situation. En attendant l’arrivée du personnel, c’est le médecin chef de la région qui s’évertue à les prendre en charge car ayant une formation sur la spécialité.
Mais pour l’heure, il urge de « dépasser cette première phase » selon le ministre car dit-il, « c’est un problème de sécurité qui se pose dans la commune de Tambacounda et dans toute la région et sur cela, des mesures idoines ont été prises notamment le renforcement des forces de sécurité de la gendarmerie et de la police. Il s’agira en permanence de quadriller la ville mais surtout de procéder à des patrouilles régulières durant toute la nuit ». A cet effet, le ministre de l’Intérieur de lancer un appel aux populations de la région orientale pour qu’ « elles comprennent » qu’elles « sont dans une situation d’exception où les gens ne peuvent pas se permettre certaines libertés et où les forces de l’ordre seront sans piété pour traquer toute personne qui serait suspecte ou aurait un comportement de nature à attirer les soupçons ».
A Tambacounda, les malades mentaux ont été dénombrés autour de 25 après que près de sept (7) d’entre eux ont été sauvagement tués.
Mais pour l’heure, il urge de « dépasser cette première phase » selon le ministre car dit-il, « c’est un problème de sécurité qui se pose dans la commune de Tambacounda et dans toute la région et sur cela, des mesures idoines ont été prises notamment le renforcement des forces de sécurité de la gendarmerie et de la police. Il s’agira en permanence de quadriller la ville mais surtout de procéder à des patrouilles régulières durant toute la nuit ». A cet effet, le ministre de l’Intérieur de lancer un appel aux populations de la région orientale pour qu’ « elles comprennent » qu’elles « sont dans une situation d’exception où les gens ne peuvent pas se permettre certaines libertés et où les forces de l’ordre seront sans piété pour traquer toute personne qui serait suspecte ou aurait un comportement de nature à attirer les soupçons ».
A Tambacounda, les malades mentaux ont été dénombrés autour de 25 après que près de sept (7) d’entre eux ont été sauvagement tués.