Fixé pour ce 06 mars à Tambacounda, le procès du chauffeur d’un des véhicules du cortège du Parti de l’unité et du rassemblement (Pur) a été encore repoussé jusqu’au 13 mars prochain pour défaut de communication des pièces à la défense.
Cette décision a été prise sur la demande des avocats du prévenu. Ils reprochent à la partie adverse de n’avoir pas fourni des photos et d’autres pièces qu’ils ont pourtant versées dans le dossier.
Ibrahima Ndoye, le chauffeur est poursuivi pour homicide involontaire sur la personne de Cheikh Touré alias «Mathieu». Son véhicule avait voilement heurté le Jakartaman lors des échauffourées survenues à Tambacounda le 11 février dernier en pleine campagne électorale pour la présidentielle. Malheureusement pour lui, la victime succombera à ses blessures.
Cette affaire découle de la bataille rangée qui a éclaté entre des éléments de la garde rapprochée du Pur et des militants la coalition Benno Bokk yakaar (Bby) de Tamba.
M. Ndoye doit aussi répondre de l’accusation de délit de fuite du fait qu’il ne s’était pas arrêté après l’accident.
Mais, lors de sa première comparution devant le tribunal le 27 février dernier, ses avocats avaient botté en touche cette accusation soutenant qu’il était impossible à l’accusation de s’arrêter puisqu’une foule déchainée était à sa trousse. Mais, la partie civile s’est opposée à cet argument parce que selon elle, le chauffeur n’a dit à personne que c’est lui l’auteur de l’accident jusqu’à Bakel. Et pourtant il a eu le temps de changer une roue crevée.
Cette décision a été prise sur la demande des avocats du prévenu. Ils reprochent à la partie adverse de n’avoir pas fourni des photos et d’autres pièces qu’ils ont pourtant versées dans le dossier.
Ibrahima Ndoye, le chauffeur est poursuivi pour homicide involontaire sur la personne de Cheikh Touré alias «Mathieu». Son véhicule avait voilement heurté le Jakartaman lors des échauffourées survenues à Tambacounda le 11 février dernier en pleine campagne électorale pour la présidentielle. Malheureusement pour lui, la victime succombera à ses blessures.
Cette affaire découle de la bataille rangée qui a éclaté entre des éléments de la garde rapprochée du Pur et des militants la coalition Benno Bokk yakaar (Bby) de Tamba.
M. Ndoye doit aussi répondre de l’accusation de délit de fuite du fait qu’il ne s’était pas arrêté après l’accident.
Mais, lors de sa première comparution devant le tribunal le 27 février dernier, ses avocats avaient botté en touche cette accusation soutenant qu’il était impossible à l’accusation de s’arrêter puisqu’une foule déchainée était à sa trousse. Mais, la partie civile s’est opposée à cet argument parce que selon elle, le chauffeur n’a dit à personne que c’est lui l’auteur de l’accident jusqu’à Bakel. Et pourtant il a eu le temps de changer une roue crevée.
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