Le leader de la formation politique Gueum Sa Bopp a passé tout un après midi à casser du sucre sur le dos du tandem Diomaye-Sonko. Lors de son adresse à la presse, Bougane Guèye Dani a fait allusion à la Constitution sénégalaise. Qui, selon lui, a été vidé de "toute sa quintessence !" "A la place des institutions constitutionnelles dotées d’une fonctionnalité connue de tous, on nous impose aujourd’hui un régime d’amalgames et de confusion de rôles au sommet de l’État et au profit de la volonté exclusive d’un seul homme, Président du parti Pastef devenu depuis Avril 2024, le président de fait du Sénégal sans avoir prêté serment ni avoir été investi de la charge, s'est plaint le patron de Dmédia.
Le futur candidat de Geum sa Bopp aux législatives a chargé davantage le tandm, Ousmane Sonko-Diomaye. A l’endroit des deux, dira t-il, « faisant ainsi du Palais de la République un simple bureau de poste et du PR élu un simple militant de Pastef ! J’en veux pour preuve la déclaration du 12 Septembre qui a entériné définitivement l’air de la présidence de facto de O. Sonko et le serment de fidélité du PR assujetti aujourd’hui à un rôle de suzerain, nous ramenant à la féodalité après tant d’années de conquête pour une démocratie que tout le monde enviait ! C’est le début d’un grand totalitarisme ».
Dans l'ensemble, Bougane Guèye a dressé un sombre tableau du régime actuel, passant des récents évènements à Kaolack et Touba (inondation de ces deux villes). Sur le même registre, il a rappelé le chavirement d'une pirogue chargé de migrants à Mbour avec à son bord près de 200 personnes. Le bilan avait fait des dizaines de morts.
Le futur candidat de Geum sa Bopp aux législatives a chargé davantage le tandm, Ousmane Sonko-Diomaye. A l’endroit des deux, dira t-il, « faisant ainsi du Palais de la République un simple bureau de poste et du PR élu un simple militant de Pastef ! J’en veux pour preuve la déclaration du 12 Septembre qui a entériné définitivement l’air de la présidence de facto de O. Sonko et le serment de fidélité du PR assujetti aujourd’hui à un rôle de suzerain, nous ramenant à la féodalité après tant d’années de conquête pour une démocratie que tout le monde enviait ! C’est le début d’un grand totalitarisme ».
Dans l'ensemble, Bougane Guèye a dressé un sombre tableau du régime actuel, passant des récents évènements à Kaolack et Touba (inondation de ces deux villes). Sur le même registre, il a rappelé le chavirement d'une pirogue chargé de migrants à Mbour avec à son bord près de 200 personnes. Le bilan avait fait des dizaines de morts.