Le leader du parti socialiste (PS), Ousmane Tanor Dieng est plus que jamais décidé à refuser la suppression d’un deuxième tour aux échéances électorales prévues en 2012. Lui et ses camarades de l’opposition sont en train de prendre les dispositions pour empêcher toutes élections en cas de suppression du second tour.
«Nous nous y opposerons frontalement ; Nous avons commencé, au sein de Bennoo Siggil Senegaal, où la position est partagée », a dit Ousmane Tanor Dieng pour qui sa coalition va se battre au sein de l’opinion publique pour qu’en cas d’une telle réforme, il n’y ait pas d’élection.
«Nous excluons toute possibilité de supprimer le 2e tour. Parce que ce n’est pas normal», a renchéri l’ancien ministre chargé des Affaires et Services présidentiels sous le régime de Abdou Diouf, qui était interrogé par notre confrère de Yolele, ce week-end. A l’en croire, Me Wade ne serait jamais devenu Président de la République du Sénégal s’il n’y avait pas de deuxième tour aux élections présidentielles de 2000. L’ancien Président, Abdou Diouf était arrivé au premier tour avec 41% de l’électorat.
«On ne peut pas accepter, sur la base de projet de succession dynastique, que Wade nous impose un seul tour pour maintenant truquer les élections», a martelé l’enfant de Ndiégniène qui est sûr qu’il est plus facile de frauder en l’absence d’un second tour.
«Nous nous y opposerons frontalement ; Nous avons commencé, au sein de Bennoo Siggil Senegaal, où la position est partagée », a dit Ousmane Tanor Dieng pour qui sa coalition va se battre au sein de l’opinion publique pour qu’en cas d’une telle réforme, il n’y ait pas d’élection.
«Nous excluons toute possibilité de supprimer le 2e tour. Parce que ce n’est pas normal», a renchéri l’ancien ministre chargé des Affaires et Services présidentiels sous le régime de Abdou Diouf, qui était interrogé par notre confrère de Yolele, ce week-end. A l’en croire, Me Wade ne serait jamais devenu Président de la République du Sénégal s’il n’y avait pas de deuxième tour aux élections présidentielles de 2000. L’ancien Président, Abdou Diouf était arrivé au premier tour avec 41% de l’électorat.
«On ne peut pas accepter, sur la base de projet de succession dynastique, que Wade nous impose un seul tour pour maintenant truquer les élections», a martelé l’enfant de Ndiégniène qui est sûr qu’il est plus facile de frauder en l’absence d’un second tour.
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