
Malgré ses dénégations répétées et après avoir été hier, jeudi 1er février, confronté à l’une de ses deux accusatrices pour « viols » pendant trois heures et demie, Tariq Ramadan a été déféré au parquet de Paris dans le courant de la nuit en vue d’une probable mise en examen.
Face au récit accablant de l’une de ses victimes présumées, une Française convertie à l’islam, qui affirme avoir été agressée sexuellement en 2009, dans un luxueux hôtel de Lyon, l’islamologue suisse a fini par reconnaître une « relation de séduction » intervenue au terme d’une correspondance électronique longue de plusieurs mois, niant fermement tout acte sexuel, ainsi que le rapporte le Parisien.
Il semble, toutefois, que l’identification d’une petite cicatrice intime par la victime présumée ait fragilisé la défense de Tariq Ramadan. Celui-ci a en effet admis porter cette marque distinctive, mais en ne fournissant aucune explication sur le fait qu’elle soit connue de la quadragénaire de confession musulmane.
Source : Oumma.com
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