Des associations et organisations pour la promotion et la défense des droits humains mettent en place un comité dénommé « Task force ». Leur objectif est de « faire un plaidoyer en vue de changer la Loi sur la santé de la reproduction et le Code pénal. Ce, pour permettre l’accès à l’avortement médicalisé aux femmes et aux jeunes filles en cas de viol, d’inceste ou d’atteinte à la santé ou à la vie de la mère ou du fœtus ».
Arguant que "l'avortement est pratiqué dans de mauvaises conditions", l'équipe de la "task force" qui part de ce terrible constat sur "la cause de 08 à 13% des cas de décès maternels et constitue avec l’infanticide, 38% des causes de détention des femmes alors que l’infanticide représente à elle seule 25% (le quart) des affaires jugées aux Assises », ne manque pas de déplorer "la loi pénale considère l’avortement provoqué comme une infraction grave. Elle prévoit des peines d’emprisonnement allant de six (6) à trois (3) et ou des amendes allant de 50.000 à 1.000.000 de F CFA".
Au moment où l'Association des juristes Sénégalaises (AJS) dit avoir enregistré 472 cas de violences basées sur le genre, entre décembre 2012 et septembre 2013, dont plusieurs sur des mineurs et suivis de grossesse, sur les colonnes du journal "la tribune".
Arguant que "l'avortement est pratiqué dans de mauvaises conditions", l'équipe de la "task force" qui part de ce terrible constat sur "la cause de 08 à 13% des cas de décès maternels et constitue avec l’infanticide, 38% des causes de détention des femmes alors que l’infanticide représente à elle seule 25% (le quart) des affaires jugées aux Assises », ne manque pas de déplorer "la loi pénale considère l’avortement provoqué comme une infraction grave. Elle prévoit des peines d’emprisonnement allant de six (6) à trois (3) et ou des amendes allant de 50.000 à 1.000.000 de F CFA".
Au moment où l'Association des juristes Sénégalaises (AJS) dit avoir enregistré 472 cas de violences basées sur le genre, entre décembre 2012 et septembre 2013, dont plusieurs sur des mineurs et suivis de grossesse, sur les colonnes du journal "la tribune".