
Abdou Latif Coulibaly parle en sa qualité de Porte-parole du Gouvernement ou juste en son nom propre ? C’est la question posée par Ibrahima Fall et consorts après que ce dernier ait affirmé :« noTus ne sommes pas pis que d’autres » quand le peuple sénégalais, en sanctionnant ceux-là, est en droit d’attendre « nous sommes meilleurs que les autres». A cet effet, dans un communiqué de sa Direction Exécutive Provisoire qui nous est parvenu, le mouvement dirigé par le professeur Ibrahima Fall précise que « la crédibilité ne se décrète pas, elle se mérite », jugeant « affligeant » que le Ministre Abdou Latif Coulibaly, à qui il revient de veiller à la bonne gouvernance, accepte que soient perpétrés des actes de « mauvaise gouvernance » sous son magistère.
Pr Fall et ses camarades qui rappellent au ministre, journaliste de métier que «si les commentaires sont libres, les faits sont sacrés», n’ont pas manqué de réitérer leur indignation par rapport à la « croissance exponentielle » des marchés de gré à gré, de même que le « blanchiment » et le « marchandage » dont sont l’objet les richesses mal acquises avec un ratio de l’ordre de 50/50, encore pis que les 20/80 proposés par le ministre de la bonne Gouvernance aux premiers temps de la traque contre les détournements de biens publics. Considérant cela comme une mise en place d’une impunité pour les « délinquants à col blanc », Taxaw Temm se demande « quelle réponse peut nous donner M. le Ministre quand nous dénonçons un procédé qui incite les élites et les gestionnaires de la chose publique à s’enrichir tranquillement, en attendant qu’une médiation pénale vienne les sortir d’embarras ?
Pr Fall et ses camarades qui rappellent au ministre, journaliste de métier que «si les commentaires sont libres, les faits sont sacrés», n’ont pas manqué de réitérer leur indignation par rapport à la « croissance exponentielle » des marchés de gré à gré, de même que le « blanchiment » et le « marchandage » dont sont l’objet les richesses mal acquises avec un ratio de l’ordre de 50/50, encore pis que les 20/80 proposés par le ministre de la bonne Gouvernance aux premiers temps de la traque contre les détournements de biens publics. Considérant cela comme une mise en place d’une impunité pour les « délinquants à col blanc », Taxaw Temm se demande « quelle réponse peut nous donner M. le Ministre quand nous dénonçons un procédé qui incite les élites et les gestionnaires de la chose publique à s’enrichir tranquillement, en attendant qu’une médiation pénale vienne les sortir d’embarras ?
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