C’est avec indignation que le Parti, Actus/prpe (Action tchadienne pour l'unité et le socialisme / parti révolutionnaire populaire et écologique) a appris l’arrestation des étudiants par la police. Ces jeunes, membres des bureaux provinciaux de l’Union Nationale des Etudiants Tchadiens (UNET), étaient en réunion le 12.08.2015 à N’Djaména, afin d’examiner la situation interne de l’organisation suite aux pressions du Gouvernement, et à la question relative au non paiement des bourses.
Dans le communiqué parvenu à pressafrik.com, l’ACTUS/prpe condamne avec force cet acte qui, selon ses membres viole délibérément le principe élémentaire de la liberté d’expression et des réunions, stipulé par l’article 27 de la constitution de la République. Le président, de l’Union Nationale des Etudiants Tchadiens (UNET). Nadjo Kaina, détenu dans un lieu tenu secret a subi de sévices corporels, informe un communiqué de presse de la Convention Tchadienne pour la Défense des Droits Humains (C.T.D.D.H), en date du 14.08.2015. Au cours de cette séance de torture, le Directeur Général de la police nationale exige du Leader étudiant, sa démission de la présidence de l’UNET.
Le parti, ACTUS/prpe, aux côtés des masses populaires tchadiennes, ensemble disent : « nous n’accepterons jamais un fait accompli, la pérennisation de la dictature du Général président Déby au Tchad ». Au demeurant, « nous avons exprimé dans notre communiqué de presse du 17 juin 2015, nos profondes préoccupations d’éventuelles lois liberticides que le gouvernement risquerait d’appliquer ».
Dans le communiqué parvenu à pressafrik.com, l’ACTUS/prpe condamne avec force cet acte qui, selon ses membres viole délibérément le principe élémentaire de la liberté d’expression et des réunions, stipulé par l’article 27 de la constitution de la République. Le président, de l’Union Nationale des Etudiants Tchadiens (UNET). Nadjo Kaina, détenu dans un lieu tenu secret a subi de sévices corporels, informe un communiqué de presse de la Convention Tchadienne pour la Défense des Droits Humains (C.T.D.D.H), en date du 14.08.2015. Au cours de cette séance de torture, le Directeur Général de la police nationale exige du Leader étudiant, sa démission de la présidence de l’UNET.
Le parti, ACTUS/prpe, aux côtés des masses populaires tchadiennes, ensemble disent : « nous n’accepterons jamais un fait accompli, la pérennisation de la dictature du Général président Déby au Tchad ». Au demeurant, « nous avons exprimé dans notre communiqué de presse du 17 juin 2015, nos profondes préoccupations d’éventuelles lois liberticides que le gouvernement risquerait d’appliquer ».