Lors d’une visite à N'Djamena, Muhammadu Buhari Rechercher Muhammadu Buhari a salué l’engagement des troupes tchadiennes contre la secte Boko Haram, appelant à un renforcement de la coopération entre les deux pays.
"Vos troupes se sont serré les coudes et se sont battues crânement avec les nôtres dans le combat contre les forces du mal", a-t-il affirmé à l'adresse de M. Idriss Deby.
"C'est une démonstration remarquable de bon voisinage, que nous devons renforcer dans les années à venir".
Environ 5.000 soldats tchadiens ont été déployés pour combattre la secte islamiste Boko Haram Rechercher Boko Haram .En avril, N'Djamena avait déploré la mort de 71 soldats.
Une offensive régionale lancée fin janvier par le Tchad, le Cameroun et le Niger a porté des coups aux jihadistes, qui ont dû abandonner plusieurs positions dans l'extrême-nord nigérian.
Le nouveau Président Muhammadu Buhari Rechercher Muhammadu Buhari , investi à la tête de l’État nigérian, a érigé en priorité la lutte contre Boko Haram, dont l'insurrection et sa répression ont fait plus de 15.000 morts depuis 2009.
Son prédécesseur Goodluck Jonathan avait fait l’objet de nombreuses critiques pour sa passivité face aux actions meurtrières de la nébuleuse islamiste.
"Vos troupes se sont serré les coudes et se sont battues crânement avec les nôtres dans le combat contre les forces du mal", a-t-il affirmé à l'adresse de M. Idriss Deby.
"C'est une démonstration remarquable de bon voisinage, que nous devons renforcer dans les années à venir".
Environ 5.000 soldats tchadiens ont été déployés pour combattre la secte islamiste Boko Haram Rechercher Boko Haram .En avril, N'Djamena avait déploré la mort de 71 soldats.
Une offensive régionale lancée fin janvier par le Tchad, le Cameroun et le Niger a porté des coups aux jihadistes, qui ont dû abandonner plusieurs positions dans l'extrême-nord nigérian.
Le nouveau Président Muhammadu Buhari Rechercher Muhammadu Buhari , investi à la tête de l’État nigérian, a érigé en priorité la lutte contre Boko Haram, dont l'insurrection et sa répression ont fait plus de 15.000 morts depuis 2009.
Son prédécesseur Goodluck Jonathan avait fait l’objet de nombreuses critiques pour sa passivité face aux actions meurtrières de la nébuleuse islamiste.