Mahamat Mahdi Ali estime que le gouvernement essaye de lui faire endosser l'échec de Doha. Pour lui, cet accord est une coquille vide, et le dialogue tchadien, annoncé à N'Djamena à la fin du mois, ne sera pas inclusif.
« Ils nous ont produit [à Doha] un projet d’accord qui était dans leurs valises pour signature. Le contenu de ce point qui concerne les prisonniers de guerre, c’est quoi ? Quand on a regardé le contenu : c’était vide de tous sens. La junte se focalise sur ce point-là. La junte essaie de faire la propagande autour de ce point-là. Et donc, il faut que les choses soient claires. Il ne faut pas indexer le Fact comme le parti qui a refusé la paix. »
« Nous n’avons pas revendiqué un pouvoir quelconque. Nous n’avons pas revendiqué de bénéfices personnels. Tout ce que nous avons réclamé, tout ce que nous avons exigé a été renvoyé au dialogue national inclusif. Or, le quota de participation a déjà été posé. Sur 1420 délégués, 1200 délégués appartiennent à la junte. C’est déjà joué d’avance. Que voulez-vous ? »
« Ils nous ont produit [à Doha] un projet d’accord qui était dans leurs valises pour signature. Le contenu de ce point qui concerne les prisonniers de guerre, c’est quoi ? Quand on a regardé le contenu : c’était vide de tous sens. La junte se focalise sur ce point-là. La junte essaie de faire la propagande autour de ce point-là. Et donc, il faut que les choses soient claires. Il ne faut pas indexer le Fact comme le parti qui a refusé la paix. »
« Nous n’avons pas revendiqué un pouvoir quelconque. Nous n’avons pas revendiqué de bénéfices personnels. Tout ce que nous avons réclamé, tout ce que nous avons exigé a été renvoyé au dialogue national inclusif. Or, le quota de participation a déjà été posé. Sur 1420 délégués, 1200 délégués appartiennent à la junte. C’est déjà joué d’avance. Que voulez-vous ? »