Dans la matinée, une bagarre a éclaté dans un camp militaire situé en périphérie de Moussoro. Diverses sources évoquent un recrutement pour la garde présidentielle qui aurait mal tourné.
Certaines recrues venues de Ndjamena et d'autres provinces du pays se disent victimes de discriminations. Après avoir été admises, elles auraient finalement été renvoyées par le supérieur en charge du recrutement. Le motif : elles n’appartiendraient pas à la communauté zaghawa, d'où sont issus la hiérarchie militaire et le clan Déby.
Les critiques dénonçant une garde présidentielle clanique sont récurrentes au Tchad. Des accusations de discrimination balayées par le ministre de la Défense, Daoud Yaya Brahim. Il évoque un mouvement d'humeur des nouvelles recrues en formation qui ont des difficultés à s'adapter à la vie militaire.
Le ministre assure que le calme est revenu dans la journée au camps militaire de Moussoro. Une source locale affirme que l'hôpital reste encerclé par les forces de l'ordre pour sécuriser les blessés. Mais aussi éviter une nouvelle bagarre.
Certaines recrues venues de Ndjamena et d'autres provinces du pays se disent victimes de discriminations. Après avoir été admises, elles auraient finalement été renvoyées par le supérieur en charge du recrutement. Le motif : elles n’appartiendraient pas à la communauté zaghawa, d'où sont issus la hiérarchie militaire et le clan Déby.
Les critiques dénonçant une garde présidentielle clanique sont récurrentes au Tchad. Des accusations de discrimination balayées par le ministre de la Défense, Daoud Yaya Brahim. Il évoque un mouvement d'humeur des nouvelles recrues en formation qui ont des difficultés à s'adapter à la vie militaire.
Le ministre assure que le calme est revenu dans la journée au camps militaire de Moussoro. Une source locale affirme que l'hôpital reste encerclé par les forces de l'ordre pour sécuriser les blessés. Mais aussi éviter une nouvelle bagarre.