Réfugiés soudanais devant l'abri qu'ils ont construit à Djoran, dans le canton de Birak, au Tchad
La représentation du Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés au Tchad se trouve dans l’obligation de lancer un appel à l’aide parce que, depuis plusieurs semaines, des dizaines de milliers de personnes fuyant la crise en République centrafricaine -mais aussi des tensions intercommunautaires autour des mines d’or au Soudan- sont arrivées au Tchad.
Ce sont en tout 21 000 réfugiés venus du Soudan et 5 600 autres venant de Centrafrique qui ont besoin d’appui. « Le HCR recherche quelque dix millions de dollars, estime ainsi Aminata Gueye, représentante du HCR au Tchad. Et ces dix millions de dollars, c’est ce qui est vraiment nécessaire pour permettre au HCR et au gouvernement d’installer les réfugiés puis au Programme alimentaire mondial (PAM) de leur apporter de la nourriture, à l’Unicef de nous aider pour l’approvisionnement en eau, les vaccinations et d’autres besoins pour les enfants et à l'Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) de leur donner des semences. »
Des besoins plus urgents encore dans des régions comme celle de Tissi, où il ne reste plus que quelques semaines pour intervenir avant que les premières pluies ne rendent impossible tout appui en faveur de ces hommes qui ont fui les pays voisins, sans pouvoir rien emporter.
Source : Rfi.fr
Ce sont en tout 21 000 réfugiés venus du Soudan et 5 600 autres venant de Centrafrique qui ont besoin d’appui. « Le HCR recherche quelque dix millions de dollars, estime ainsi Aminata Gueye, représentante du HCR au Tchad. Et ces dix millions de dollars, c’est ce qui est vraiment nécessaire pour permettre au HCR et au gouvernement d’installer les réfugiés puis au Programme alimentaire mondial (PAM) de leur apporter de la nourriture, à l’Unicef de nous aider pour l’approvisionnement en eau, les vaccinations et d’autres besoins pour les enfants et à l'Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) de leur donner des semences. »
Des besoins plus urgents encore dans des régions comme celle de Tissi, où il ne reste plus que quelques semaines pour intervenir avant que les premières pluies ne rendent impossible tout appui en faveur de ces hommes qui ont fui les pays voisins, sans pouvoir rien emporter.
Source : Rfi.fr