"Nous le recherchons de la façon la plus active avec le concours des autorités tchadiennes, pour l'instant nous n'arrivons pas à localiser", a commenté Hervé Morin sur France-Info. "Nous n'avons pas de confirmation" d'une quatrième victime.
Ce légionnaire était "dans l'armée française depuis février 2007. Tous les examens psychotechniques, j'ai fait ressortir le dossier technique cette nuit, ne démontraient aucun problème particulier de ce genre", a-t-il précisé.
"Il a fait l'objet d'un examen psychologique au moment de son intégration, tout cela démontrait un homme parfaitement intégré, ses fiches de notation étaient bonnes", a ajouté Hervé Morin. "Rien ne permet de pouvoir comprendre le sens de cet acte".
"Pour l'instant, nous n'avons pas d'autre cause que celle d'un accès de folie qui serait à l'origine de ce geste totalement insupportable et intolérable, et qui choque la communauté militaire", a conclu le ministre de la Défense. AP
Ce légionnaire était "dans l'armée française depuis février 2007. Tous les examens psychotechniques, j'ai fait ressortir le dossier technique cette nuit, ne démontraient aucun problème particulier de ce genre", a-t-il précisé.
"Il a fait l'objet d'un examen psychologique au moment de son intégration, tout cela démontrait un homme parfaitement intégré, ses fiches de notation étaient bonnes", a ajouté Hervé Morin. "Rien ne permet de pouvoir comprendre le sens de cet acte".
"Pour l'instant, nous n'avons pas d'autre cause que celle d'un accès de folie qui serait à l'origine de ce geste totalement insupportable et intolérable, et qui choque la communauté militaire", a conclu le ministre de la Défense. AP