Le Serbe Novak Djokovic, n° 2 mondial, s'est qualifié pour la troisième fois de sa carrière en finale de Wimbledon en dominant vendredi 4 juillet le Bulgare Grigor Dimitrov, 13e, en quatre sets (6-4, 3-6, 7-6 (7/2), 7-6 (9/7). Il affrontera le Suisse Roger Federer, 32 ans, qui a éliminé le Canadien Milos Raonic en demi-finale (6-4, 6-4, 6-4).
Il s'agira de la revanche de la finale de l'US Open en 2007, du temps où le spécialiste du gazon, désormais 4e joueur mondial, dominait de la tête et des épaules le tennis mondial. Le Suisse tentera de décrocher son huitième titre à Wimbledon contre le Serbe Novak Djokovic.
Ce sera la quatorzième finale dans un tournoi du Grand Chelem pour Novak Djokovic qui en compte six à son palmarès dont un conquis sur le gazon anglais en 2011. Ce sera aussi la deuxième de la saison, après celle perdue à Roland-Garros le 8 juin contre Rafael Nadal.
Auteur de 17 aces et 4 coups gagnants de plus (36 contre 32), le Canadien a systématiquement faibli une fois dans chaque manche et le réaliste Federer, qui disputera sa 25e finale de Grand Chelem et n'a jamais été éliminé sur ce gazon en demi-finale, en a alors profité à chaque fois pour le breaker.
« J'ai fait preuve d'une grosse concentration, j'ai vraiment bien joué, s'est félicité ensuite le vainqueur. Je suis resté très vigilant sur mes jeux de service. Je suis extrêmement content d'être en finale. »
TIE-BREAK CRUCIAL
Dans l'autre demi-finale, Djokovic a pu compter sur son service (17 aces, 70 % de réussite en première balle) et son expérience dans les moments cruciaux.
Il a pu profiter des erreurs de son adversaire (8 doubles fautes, 33 fautes directes), outsider du tournoi et invaincu jusqu'ici sur gazon cette saison.
La rencontre aurait toutefois pu mal tourner pour Djokovic s'il n'avait pas réussi à sauver quatre balles de set dans la quatrième manche, au moment où Dimitrov revenait en force dans la partie.
Alors qu'il menait 6-3 dans le tie-break de ce set crucial, le Bulgare, titré en juniors à Londres il y a six ans, s'est mis à ce moment précis à balbutier son tennis, sous les yeux de sa compagne, la Russe Maria Sharapova.
L'occasion était trop belle pour le « Djoker » qui rate rarement les occasions lorsque son adversaire flanche psychologiquement.
Il s'agira de la revanche de la finale de l'US Open en 2007, du temps où le spécialiste du gazon, désormais 4e joueur mondial, dominait de la tête et des épaules le tennis mondial. Le Suisse tentera de décrocher son huitième titre à Wimbledon contre le Serbe Novak Djokovic.
Ce sera la quatorzième finale dans un tournoi du Grand Chelem pour Novak Djokovic qui en compte six à son palmarès dont un conquis sur le gazon anglais en 2011. Ce sera aussi la deuxième de la saison, après celle perdue à Roland-Garros le 8 juin contre Rafael Nadal.
Auteur de 17 aces et 4 coups gagnants de plus (36 contre 32), le Canadien a systématiquement faibli une fois dans chaque manche et le réaliste Federer, qui disputera sa 25e finale de Grand Chelem et n'a jamais été éliminé sur ce gazon en demi-finale, en a alors profité à chaque fois pour le breaker.
« J'ai fait preuve d'une grosse concentration, j'ai vraiment bien joué, s'est félicité ensuite le vainqueur. Je suis resté très vigilant sur mes jeux de service. Je suis extrêmement content d'être en finale. »
TIE-BREAK CRUCIAL
Dans l'autre demi-finale, Djokovic a pu compter sur son service (17 aces, 70 % de réussite en première balle) et son expérience dans les moments cruciaux.
Il a pu profiter des erreurs de son adversaire (8 doubles fautes, 33 fautes directes), outsider du tournoi et invaincu jusqu'ici sur gazon cette saison.
La rencontre aurait toutefois pu mal tourner pour Djokovic s'il n'avait pas réussi à sauver quatre balles de set dans la quatrième manche, au moment où Dimitrov revenait en force dans la partie.
Alors qu'il menait 6-3 dans le tie-break de ce set crucial, le Bulgare, titré en juniors à Londres il y a six ans, s'est mis à ce moment précis à balbutier son tennis, sous les yeux de sa compagne, la Russe Maria Sharapova.
L'occasion était trop belle pour le « Djoker » qui rate rarement les occasions lorsque son adversaire flanche psychologiquement.