Le président de la WTA, qui gère le circuit féminin de tennis, « demeure profondément inquiet » quant à la liberté de parole de la joueuse chinoise Peng Shuai, a indiqué samedi une porte-parole à l'AFP.
Elle avait accusé début novembre un haut dirigeant de son pays d'un rapport sexuel forcé. Steve Simon « demeure profondément inquiet concernant la liberté de Peng vis-à-vis de toute censure ou coercition et a décidé de ne pas reprendre contact avec elle via email tant qu'il ne serait pas certains que ses réponses seraient personnelles et non celles de ses censeurs », a déclaré la porte-parole.