Déjà la FNCL accuse, car elle soutient que « Moustapha Niasse non content de conduire la vassalisation de l’Assemblée Nationale qu’il a fini d’arrimer au pouvoir exécutif, joue au bouffon du prince en s’inventant une tentative d’assassinat perpétrée sur sa personne le 31 janvier 2012 et curieusement révélée plus d’un an après ».
Pour la Fédération Nationale des Cadres Libéraux, « au-delà du caractère ridicule de cette fertile et cruelle imagination », « ce grave mensonge cousu de fil blanc porte atteinte à la crédibilité de l’Etat et interpelle l’autorité au plus haut niveau ». Car « en accusant un gendarme d’avoir tiré sur lui, le président de l’Assemblée Nationale outrepasse toutes les limites dans lesquelles toute République confine ses citoyens. Ni l’âge avancé, ni le poids de ses nouvelles charges ne peuvent excuser pareille glissade verbale ».
« En conséquence, la FNCL exige du Président de la République chef supérieur des forces armées et le Haut Commandant de la Gendarmerie Nationale, au nom du principe de la continuité de l’Etat et de sa mission régalienne de garant de la sécurité des personnes et des biens, d’apporter à l’opinion nationale et internationale toute la lumière sur cette affaire. Au cas contraire, cette malencontreuse déclaration venant d’une personnalité de l’Etat portera gravement atteinte à l’image de notre pays, de sa Gendarmerie Nationale et de toutes ses forces de sécurité. Le procureur de la république censé défendre les intérêts de la société doit sans délai s’auto saisir pour la manifestation de la vérité ».
Par ailleurs, la FNCL invite les députés soucieux de la crédibilité de l’institution parlementaire à exiger de leur président les précisons suivantes sur la prétendue tentative d’assassinat sur sa personne : l’indication du médecin chirurgien qui lui aurait extrait la balle, et de l’hôpital qui a abrité l’opération ; la localisation de la cicatrice entrainée par la balle sur son corps ;
l’ouverture d’une enquête parlementaire pour que nul n’en ignore.
Si des clarifications ne sont pas apportées à ces déclarations du Président de l’Assemblée Nationale, c’est notre démocratie elle-même qui en porterait un sacré coup selon la FNCL. Et ces libéraux de soutenir que « toute tentative de mettre les propos de la deuxième personnalité de l’Etat sur le seul compte de propos démagogiques tenus dans le cadre d’une instance politique sans envergure, c’est tout simplement accepter la déliquescence de nos institutions et la disparition définitive des valeurs morales et éthiques dans le jeu politique ».
Pour la Fédération Nationale des Cadres Libéraux, « au-delà du caractère ridicule de cette fertile et cruelle imagination », « ce grave mensonge cousu de fil blanc porte atteinte à la crédibilité de l’Etat et interpelle l’autorité au plus haut niveau ». Car « en accusant un gendarme d’avoir tiré sur lui, le président de l’Assemblée Nationale outrepasse toutes les limites dans lesquelles toute République confine ses citoyens. Ni l’âge avancé, ni le poids de ses nouvelles charges ne peuvent excuser pareille glissade verbale ».
« En conséquence, la FNCL exige du Président de la République chef supérieur des forces armées et le Haut Commandant de la Gendarmerie Nationale, au nom du principe de la continuité de l’Etat et de sa mission régalienne de garant de la sécurité des personnes et des biens, d’apporter à l’opinion nationale et internationale toute la lumière sur cette affaire. Au cas contraire, cette malencontreuse déclaration venant d’une personnalité de l’Etat portera gravement atteinte à l’image de notre pays, de sa Gendarmerie Nationale et de toutes ses forces de sécurité. Le procureur de la république censé défendre les intérêts de la société doit sans délai s’auto saisir pour la manifestation de la vérité ».
Par ailleurs, la FNCL invite les députés soucieux de la crédibilité de l’institution parlementaire à exiger de leur président les précisons suivantes sur la prétendue tentative d’assassinat sur sa personne : l’indication du médecin chirurgien qui lui aurait extrait la balle, et de l’hôpital qui a abrité l’opération ; la localisation de la cicatrice entrainée par la balle sur son corps ;
l’ouverture d’une enquête parlementaire pour que nul n’en ignore.
Si des clarifications ne sont pas apportées à ces déclarations du Président de l’Assemblée Nationale, c’est notre démocratie elle-même qui en porterait un sacré coup selon la FNCL. Et ces libéraux de soutenir que « toute tentative de mettre les propos de la deuxième personnalité de l’Etat sur le seul compte de propos démagogiques tenus dans le cadre d’une instance politique sans envergure, c’est tout simplement accepter la déliquescence de nos institutions et la disparition définitive des valeurs morales et éthiques dans le jeu politique ».
Autres articles
-
Rupture entre le F24 et le Pastef : trahison ou ingratitude ?
-
Gestion fonds Covid-19 : « Je ne suis pas concerné par une quelconque information judiciaire » (Abdoulaye Diouf Sarr)
-
Radiation de Barthelemy Dias : « il y a un parfum de revanche politique dans cette affaire », Me Moussa Diop
-
Révocation de Barthelemy Dias : le préfet aurait agi sous l’Article, L 237 du code électoral, selon Me Moussa Diop,
-
"Les Sénégalais n'accepteront pas la dictature", avertit Mamadou Mbodji, Coordonnateur de F24