C’est sur instruction du doyen des juges Samba Sall, dans le cadre de l’affaire de l’Imam Alioune Badara Ndao qu’une enquête a minutieusement été ouverte par le groupe d’intervention et de recherche de la DIC. Les enquêteurs ont pu faire un lien entre les différentes personnes interpellées et les quatre jeunes de Yoff Tonghor jusqu’à parvenir à eux.
Dans le groupe de personnes interpellées, on retrouve Lamine C dit Abu Javaar qui a reconnu avoir combattu dans les rangs de l’organisation terroriste Bokko Haram. Et c’est justement de ce dernier qu’est partie l’affaire dite des présumés terroristes il y a de cela quelques jours à Yoff Tonghor, qui ont été mis en examen et écroués. D’après les premiers éléments de l’enquête, ce sont les déclarations faites par Lamine lors de son interrogatoire qui ont permis l’arrestation de ces quatre personnes. Selon « Libération », le nommé Lamine C. a avoué aux enquêteurs que ce sont les susnommés qui l’ont convaincu de rejoindre les rangs de Boko Haram en plus de lui avoir fourni les moyens financiers pour rallier le Nigéria.
C’est fort de toutes ces informations que les enquêteurs sénégalais ont mis en place une discrète surveillance autour des quatre mis en cause présumés qui faisaient l’objet d’une « prise en charge » permanente.
Dans le groupe de personnes interpellées, on retrouve Lamine C dit Abu Javaar qui a reconnu avoir combattu dans les rangs de l’organisation terroriste Bokko Haram. Et c’est justement de ce dernier qu’est partie l’affaire dite des présumés terroristes il y a de cela quelques jours à Yoff Tonghor, qui ont été mis en examen et écroués. D’après les premiers éléments de l’enquête, ce sont les déclarations faites par Lamine lors de son interrogatoire qui ont permis l’arrestation de ces quatre personnes. Selon « Libération », le nommé Lamine C. a avoué aux enquêteurs que ce sont les susnommés qui l’ont convaincu de rejoindre les rangs de Boko Haram en plus de lui avoir fourni les moyens financiers pour rallier le Nigéria.
C’est fort de toutes ces informations que les enquêteurs sénégalais ont mis en place une discrète surveillance autour des quatre mis en cause présumés qui faisaient l’objet d’une « prise en charge » permanente.