Les candidats à l'élection présidentielle 2024 regroupés autour d'un collectif dénommé "collectif des candidats de l'opposition à la présidentielle 2024 " font face à la presse. Au moment où ces lignes sont écrites. Ils démontent "le coup d'Etat constitutionnel perpétré par le Président Macky Sall et ses complices". Thierno Alassane Sall, candidat ayant déposé un recours pour l'invalidation de la candidature de Karim Meissa Wade, sans langue de bois, a violemment tancé le chef de l'Etat et "ses tailleurs constitutionnels".
D'emblée, il a salué la réaction de la communauté internationale. Il a constaté et condamner : "les évènements graves qui se déroulent actuellement au Sénégal dont les moyens de symptômes ne sont pas le retrait définitif de la licence de Wal Fadjri ainsi que la suspension qui vient juste d'être levée de internet mobile".
"Tout ceci, a regretté M. Sall, procède d'une situation dans laquelle le Président Macky Sall a choisi avec un petit gang de députés et de membres de son parti de perpétrer l'un des plus odieux de l'histoire politique du Sénégal. Car, selon Thierno Alassane Sall, il s'agit de coup et tout le monde pour une fois condamne sans réserve ce qui se passe. Le président Macky Sall et son gang de putschistes se retrouvent isolés comme jamais".
Le candidat à la présidentielle du 25 février reportée au 15 décembre 2024 a salué les condamnations des autorités morales de ce pays, "la voix forte et claire de l'Archevêque de Dakar qui sans aucune réserve possible a dit que ce qui se passe est inacceptable et que la paix repose sur la vérité et que la vérité est en train d'être piétinée au Sénégal".
Très en verve, le président de la République des valeurs (Rv) d'enfoncer le clou : "le président Macky Sall est en train d'être condamné par l'ensemble des constitutionnalistes de ce pays à l'exception de ses "tailleurs constitutionnels". Parce que pour perpétrer ce genre de coup, il faut être aussi de petits hommes entourés de petits hommes parce qu'il faut appeler les choses par leurs noms".
D'emblée, il a salué la réaction de la communauté internationale. Il a constaté et condamner : "les évènements graves qui se déroulent actuellement au Sénégal dont les moyens de symptômes ne sont pas le retrait définitif de la licence de Wal Fadjri ainsi que la suspension qui vient juste d'être levée de internet mobile".
"Tout ceci, a regretté M. Sall, procède d'une situation dans laquelle le Président Macky Sall a choisi avec un petit gang de députés et de membres de son parti de perpétrer l'un des plus odieux de l'histoire politique du Sénégal. Car, selon Thierno Alassane Sall, il s'agit de coup et tout le monde pour une fois condamne sans réserve ce qui se passe. Le président Macky Sall et son gang de putschistes se retrouvent isolés comme jamais".
Le candidat à la présidentielle du 25 février reportée au 15 décembre 2024 a salué les condamnations des autorités morales de ce pays, "la voix forte et claire de l'Archevêque de Dakar qui sans aucune réserve possible a dit que ce qui se passe est inacceptable et que la paix repose sur la vérité et que la vérité est en train d'être piétinée au Sénégal".
Très en verve, le président de la République des valeurs (Rv) d'enfoncer le clou : "le président Macky Sall est en train d'être condamné par l'ensemble des constitutionnalistes de ce pays à l'exception de ses "tailleurs constitutionnels". Parce que pour perpétrer ce genre de coup, il faut être aussi de petits hommes entourés de petits hommes parce qu'il faut appeler les choses par leurs noms".