Le Conseiller spécial du Président de la République en TIC, Thierno Ousmane Sy qui a décidé de porter plainte contre le journaliste Abdou Latif Coubaly pour atteinte a son honorabilité, a déclaré que «la sortie du directeur de l’ISSIC sur l’histoire des commissions payées à des tierces sur la vente de la licence de Sudatel est la «dernière étape d’une réflexion à haute voix du magazine La Gazette». Il explique que la première chose que La Gazette a dite c’est qu’il y a eu 200 cents millions de dollars qui devaient être payés, alors que «nous n’avons reçu 83 ou 87 milliards».
«Dans le premier article, le journal dit que le taux de change qui a été appliqué n’était pas le bon et que c’était pour générer des commissions», raconte le spécialiste des TIC qui poursuit qu’à l’époque, le premier ministre a instruit le trésorier général pour faire un communiqué qui a clarifié les date de payement, les montants, etc. a sa surprise, après ce communiqué, il n’y a eu aucun commentaire de la part de La Gazette. Toutefois, dit-il, «ce magazine est revenu après pour dire que ce n’est plus un problème de taux de change mais une histoire de commissions directement payées à des sociétés, etc. «Et c’est là qu’ils sortent mon nom», se plaint-t-il avant de déclarer , eh bien je vais porter plainte.
Par ailleurs, le Conseil spécial du Président de la République raconte qu’il n’est point surpris par le fait que le journal l’ait cité parce que ce n’est pas la première fois. «Je devais être cité dans cette affaire, de toutes les façons, parce que c’était ça le but», narre-t-il en ironisant que : «Encore une fois, ça participe d’un grand morceau de musique et cela n’est qu’une partie du refrain.
Ousmane Thierno Sy déclare qu’on l’a déjà attaqué sur l’histoire des actions de la SONATEL, ce qui est faux. D’autant plus qu’il a gagné, au Canada, son procès contre le journaliste Souleymane Diop selon ses dires. Poursuivant les exemples, il dira que sur l’affaire Millicom (où il était aussi accusé), tout le monde avait vu que c’était faux. Parce que «dans les pages du magazine Jeune Afrique, le Directeur de Millicom a apporté un démenti très clair et édifiant», a soutenu Ousmane Sy qui été l'invité cet après midi de l'émission Opinion de Walf/TV.
«Dans le premier article, le journal dit que le taux de change qui a été appliqué n’était pas le bon et que c’était pour générer des commissions», raconte le spécialiste des TIC qui poursuit qu’à l’époque, le premier ministre a instruit le trésorier général pour faire un communiqué qui a clarifié les date de payement, les montants, etc. a sa surprise, après ce communiqué, il n’y a eu aucun commentaire de la part de La Gazette. Toutefois, dit-il, «ce magazine est revenu après pour dire que ce n’est plus un problème de taux de change mais une histoire de commissions directement payées à des sociétés, etc. «Et c’est là qu’ils sortent mon nom», se plaint-t-il avant de déclarer , eh bien je vais porter plainte.
Par ailleurs, le Conseil spécial du Président de la République raconte qu’il n’est point surpris par le fait que le journal l’ait cité parce que ce n’est pas la première fois. «Je devais être cité dans cette affaire, de toutes les façons, parce que c’était ça le but», narre-t-il en ironisant que : «Encore une fois, ça participe d’un grand morceau de musique et cela n’est qu’une partie du refrain.
Ousmane Thierno Sy déclare qu’on l’a déjà attaqué sur l’histoire des actions de la SONATEL, ce qui est faux. D’autant plus qu’il a gagné, au Canada, son procès contre le journaliste Souleymane Diop selon ses dires. Poursuivant les exemples, il dira que sur l’affaire Millicom (où il était aussi accusé), tout le monde avait vu que c’était faux. Parce que «dans les pages du magazine Jeune Afrique, le Directeur de Millicom a apporté un démenti très clair et édifiant», a soutenu Ousmane Sy qui été l'invité cet après midi de l'émission Opinion de Walf/TV.