Et l'adjoint d'Idrissa Seck, maire de Thiès, Yankhoba Diattara ne serait pas exempt de tout reproche. Un Procès Verbal (PV) fait penser à l’œuvre d’un faussaire. Un document du reste très suspect eu égard à son libellé. Ouverte le 08 juin 2010 à 16 heures, la séance présidé par Yankhoba Diattara a curieusement pris fin à 13 heures, comme indiqué dans le PV. C’est-à-dire 3 heures avant qu’elle n’ait même commencer. A moins que la commission soit réunie jusqu’au lendemain. Les plus indulgents concluent à une simple erreur matérielle. Dans le préambule du PV, la motivation du projet de lotissement est théoriquement accrocheuse. Mais à l’épreuve des faits, un détournement d’objectif transparaît. En effet, sur un total de 133 parcelles, seules 35, soit 26%, ont été affecté aux travailleurs de la MAC comme indiqué sur les documents.
Passées les anomalies qui entachent ce fameux PV, la revue des personnes bénéficiaires des parcelles illustre sans exagération selon "libération", un partage honteux immoral. Les membres de la commission ont fait leurs cet adage. Faisant fi de la longue file indienne des administrés attendent de leur maire la même faveur, Yankhoba Diattara s’empare, sans état d’âme, du terrain numéro 173. Chef du service du Cadastre, Fatoumata Binétou Cissé chop quant à elle 175. Le bras droit d’Idrissa Seck n’a pas oublié les noms de proches parents dans ses libéralités foncières.
Passées les anomalies qui entachent ce fameux PV, la revue des personnes bénéficiaires des parcelles illustre sans exagération selon "libération", un partage honteux immoral. Les membres de la commission ont fait leurs cet adage. Faisant fi de la longue file indienne des administrés attendent de leur maire la même faveur, Yankhoba Diattara s’empare, sans état d’âme, du terrain numéro 173. Chef du service du Cadastre, Fatoumata Binétou Cissé chop quant à elle 175. Le bras droit d’Idrissa Seck n’a pas oublié les noms de proches parents dans ses libéralités foncières.