En séminaire régional sur les violences en milieu scolaire tenu à Thiès El hadji Mbengue, chargé de l’éducation et de la formation estime que le phénomène fait des biais qui affectent le milieu éducatif sénégalais.
« Le Sypros, depuis 2015 a senti la nécessité de parler aux enseignants, de les former, de les imprégner d’une réalité que nous vivons et qui est là dans nos écoles. C’est la problématique de la violence qui sévit dans nos écoles. Il nous faut prendre garde, il nous faut agir, il nous faut faire des efforts sinon tout ce que nous avons envisagé comme développement dans le cadre de la scolarisation risque d’être hypothéqué si on ne prend pas garde », a déclaré M. Mbengue.
De part et d'autres, renseigne le chargé de l’éducation et de la formation sur les ondes d’Iradio, les élèves tout comme les enseignants devraient s’imprégner des risques encourus en cas de violence en milieu scolaire. « Nous sommes quelques fois indexés comme auteurs mais aussi quelques fois nous subissons et comme nous sommes parfois victimes, il est normal que nous devrions donc dire à nos camarades quels sont les typologies, quelles sont les types de violences que nous pouvons rencontrer dans nos écoles, Comment il faut y prendre garde, qu’est-ce que la loi prévoit », souligne-t-il.
Pour le Sypros il urge pour les enseignants de revisiter les textes qui protègent l’enfant. « Quels sont aussi les instruments qui sont là aussi bien internationaux que instruments nationaux de protection. Il faut aussi dans le cadre de cette lutte montrer aux enseignants comment ils doivent améliorer la pratique de leur enseignement, apprentissage, parce qu’il est question actuellement de protéger l’enfant. »
Le syndicat signale que l’école est un milieu d’éducation de dispense et de recherche de connaissances.
« Le Sypros, depuis 2015 a senti la nécessité de parler aux enseignants, de les former, de les imprégner d’une réalité que nous vivons et qui est là dans nos écoles. C’est la problématique de la violence qui sévit dans nos écoles. Il nous faut prendre garde, il nous faut agir, il nous faut faire des efforts sinon tout ce que nous avons envisagé comme développement dans le cadre de la scolarisation risque d’être hypothéqué si on ne prend pas garde », a déclaré M. Mbengue.
De part et d'autres, renseigne le chargé de l’éducation et de la formation sur les ondes d’Iradio, les élèves tout comme les enseignants devraient s’imprégner des risques encourus en cas de violence en milieu scolaire. « Nous sommes quelques fois indexés comme auteurs mais aussi quelques fois nous subissons et comme nous sommes parfois victimes, il est normal que nous devrions donc dire à nos camarades quels sont les typologies, quelles sont les types de violences que nous pouvons rencontrer dans nos écoles, Comment il faut y prendre garde, qu’est-ce que la loi prévoit », souligne-t-il.
Pour le Sypros il urge pour les enseignants de revisiter les textes qui protègent l’enfant. « Quels sont aussi les instruments qui sont là aussi bien internationaux que instruments nationaux de protection. Il faut aussi dans le cadre de cette lutte montrer aux enseignants comment ils doivent améliorer la pratique de leur enseignement, apprentissage, parce qu’il est question actuellement de protéger l’enfant. »
Le syndicat signale que l’école est un milieu d’éducation de dispense et de recherche de connaissances.
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