Le boutiquier de 19 ans, B. Ndiaye est accusé d'avoir violé une jeune fille de sept (7) ans. Selon les témoignages de la victime, c'est dans sa chambre qu'il aurait abusé d'elle. Résidant á Pout (une commune de la Région de Thiès), le boutiquier a entraîné sa cible loin des regards indiscrets, l'a déshabillée, avant de frotter son sexe contre le sien jusqu'à jouir.
Le jour des faits, rapporte L'Observateur, la victime identifiée sous le nom de N.S., a été envoyée à la boutique par sa mère. Une fois sur place, le présumé violeur l'a entrainé à l'intérieur de ce commerce doté d'une chambre de fortune aménagée au fond.
Pour satisfaire sa libido, B. Ndiaye a déshabillée sa proie, puis il s'est mis à frotter à souhait son sexe contre celui de sa victime. Après avoir fini sa sale besogne, le boutiquier a tranquillement libéré la fillette, en la menaçant de représailles si elle parlait. Toutefois, une fois de retour chez elle, son attitude a intrigué sa mère qui l'a soumise à une série de questions.
Cédant á la tirade de sa mère elle a fini par tout déballer. Furieuse, la maman s'est rendue chez le bourreau de sa fille qui, acculé, a reconnu les faits. Pour y voir plus clair, la maman va acheminer sa fille en consultation. Après diagnostique, le gynécologue a conclu à « une absence de légions et à une nature intacte de l'hymen ». Néanmoins, la dame a saisi d'une plainte la Brigade de gendarmerie pour attentat à la pudeur commis avec violence.
Ainsi, B. Ndiaye a été arrêté et déféré, puis placé sous mandat de dépôt à la prison de Thiès. Son dossier a été enrôlé vendredi dernier au Tribunal des flagrants délits de Thiès. À la barre, le mis en cause à reconnu les faits. « Je l'ai conduite dans ma chambre. Je l'ai ensuite déshabillée et frotté mon sexe contre le sien jusqu'à éjaculer.»
Il a ajouté : « Je ne l'ai pas pénétrée. Elle n'a pas pleuré et c'était la deuxième fois que je commettais un tel acte avec elle. J'ignore ce qui m'a poussé à faire cela. Elle est ma seule victime. »
Pour sa part, le parquet a requis 3 ans ferme contre B. Ndiaye qui sera fixé sur son sort le 12 avril 2024.
Le jour des faits, rapporte L'Observateur, la victime identifiée sous le nom de N.S., a été envoyée à la boutique par sa mère. Une fois sur place, le présumé violeur l'a entrainé à l'intérieur de ce commerce doté d'une chambre de fortune aménagée au fond.
Pour satisfaire sa libido, B. Ndiaye a déshabillée sa proie, puis il s'est mis à frotter à souhait son sexe contre celui de sa victime. Après avoir fini sa sale besogne, le boutiquier a tranquillement libéré la fillette, en la menaçant de représailles si elle parlait. Toutefois, une fois de retour chez elle, son attitude a intrigué sa mère qui l'a soumise à une série de questions.
Cédant á la tirade de sa mère elle a fini par tout déballer. Furieuse, la maman s'est rendue chez le bourreau de sa fille qui, acculé, a reconnu les faits. Pour y voir plus clair, la maman va acheminer sa fille en consultation. Après diagnostique, le gynécologue a conclu à « une absence de légions et à une nature intacte de l'hymen ». Néanmoins, la dame a saisi d'une plainte la Brigade de gendarmerie pour attentat à la pudeur commis avec violence.
Ainsi, B. Ndiaye a été arrêté et déféré, puis placé sous mandat de dépôt à la prison de Thiès. Son dossier a été enrôlé vendredi dernier au Tribunal des flagrants délits de Thiès. À la barre, le mis en cause à reconnu les faits. « Je l'ai conduite dans ma chambre. Je l'ai ensuite déshabillée et frotté mon sexe contre le sien jusqu'à éjaculer.»
Il a ajouté : « Je ne l'ai pas pénétrée. Elle n'a pas pleuré et c'était la deuxième fois que je commettais un tel acte avec elle. J'ignore ce qui m'a poussé à faire cela. Elle est ma seule victime. »
Pour sa part, le parquet a requis 3 ans ferme contre B. Ndiaye qui sera fixé sur son sort le 12 avril 2024.