K. Nguer, gérant de poulailler, a été condamné à 5 ans de réclusion criminelle pour tentative de viol sur F. Fall, une femme mariée d’environ 45 ans. Les faits remontent en juillet 2020, au quartier Keur Massamba Guèye de Thiès.
Selon le journal L’Observateur, après avoir invité la victime dans sa chambre sous prétexte d’une rencontre amicale, K. Nguer a tenté de la forcer à des rapports sexuels. Face à son refus, il l’a violentée, lui assénant des coups de poing avant de la jeter sur son lit. Cependant, il n’a pas atteint son objectif en raison d’une éjaculation précoce, ce qui a permis à la victime de s’échapper.
Initialement réticente à porter plainte, F. Fall a été encouragée par une amie à signaler les faits à la police. Lors de son procès, le prévenu a nié les faits. «Quand on s'est assis sur le lit, j'ai senti le désir d'entretenir un rapport sexuel avec elle. J'ai tenté, mais elle a refusé. Je n'ai pas insisté. J'avais ce désir parce que je la voyais souvent chez elle, torse nus, a confié le prévenu.
Mais la partie civile a soutenu le contraire : « K.Nguer n'a pu atteindre son objectif parce qu'il a éjaculé précocement. Après son éjaculation, il est devenu inerte ».
La victime, profondément affectée, a déclaré que cet acte avait brisé sa vie et contribué au décès de son époux.
« K. Nguer a détruit ma vie. Il m'a déshonorée. Je n'avais jamais cru qu'il allait commettre cet acte parce que je le considérais comme mon fils. Cette affaire m'a laissé des séquelles, mon époux est décédé à cause de cette douleur», a-telle confié.
La Cour a jugé les faits constants. Le procureur avait requis 15 ans de réclusion, mais le tribunal a finalement condamné K. Nguer à 5 ans de réclusion criminelle.
Selon le journal L’Observateur, après avoir invité la victime dans sa chambre sous prétexte d’une rencontre amicale, K. Nguer a tenté de la forcer à des rapports sexuels. Face à son refus, il l’a violentée, lui assénant des coups de poing avant de la jeter sur son lit. Cependant, il n’a pas atteint son objectif en raison d’une éjaculation précoce, ce qui a permis à la victime de s’échapper.
Initialement réticente à porter plainte, F. Fall a été encouragée par une amie à signaler les faits à la police. Lors de son procès, le prévenu a nié les faits. «Quand on s'est assis sur le lit, j'ai senti le désir d'entretenir un rapport sexuel avec elle. J'ai tenté, mais elle a refusé. Je n'ai pas insisté. J'avais ce désir parce que je la voyais souvent chez elle, torse nus, a confié le prévenu.
Mais la partie civile a soutenu le contraire : « K.Nguer n'a pu atteindre son objectif parce qu'il a éjaculé précocement. Après son éjaculation, il est devenu inerte ».
La victime, profondément affectée, a déclaré que cet acte avait brisé sa vie et contribué au décès de son époux.
« K. Nguer a détruit ma vie. Il m'a déshonorée. Je n'avais jamais cru qu'il allait commettre cet acte parce que je le considérais comme mon fils. Cette affaire m'a laissé des séquelles, mon époux est décédé à cause de cette douleur», a-telle confié.
La Cour a jugé les faits constants. Le procureur avait requis 15 ans de réclusion, mais le tribunal a finalement condamné K. Nguer à 5 ans de réclusion criminelle.