L'agression à coups de couteau d'une enseignante, devant son lieu de travail au CEM Hersent 2, près de l'hippodrome Ndiaw Macodou Diop, dans la commune de Thiès-Est (à 70 km de Dakar), a fait grand bruit hier, lundi, dans la cité du rail.
Selon des informations rapportées par Sud FM, la victime, poignardée par le fils de son ex-mari, un gradé de la police nationale, se trouve à présent admise aux services de réanimation du centre hospitalier régional Ahmadou Sakhir Ndiéguene de Thiès. La famille et les syndicats d’enseignants de Thiès exigent la lumière et réclament justice.
Devant les services d’urgences de l’hôpital régional de Thiès, c’est une famille meurtrie qui est venue s’enquérir des nouvelles de leur fille sauvagement agressée. Excepté son oncle, Amadou Diallo, qui a réussi à lui chiper quelques mots de son lit d’hôpital, avant qu’elle ne soit admise à la réanimation, personne d’autre n’aurait des nouvelles de cette enseignante grièvement blessée.
Son bourreau, qui ne serait personne d’autre qu’un ancien militaire né en 1997, fils d’un gardé de la police qui serait l’ex-mari de l’enseignante, n’en serait pas à son premier forfait.
Selon les témoignages de la famille de l’enseignante, « il aurait, par le passé, incendié le véhicule de sa tante, sans compter les menaces de mort ». Les motivations restent encore inconnues.
Le mis en cause aurait pris la poudre d'escampette. Une thèse qui ne convainc pas la famille de l’enseignement, qui soupçonne le père de l’agresseur de chercher à le protéger.
D’après Sud FM, une forte surveillance policière est dépêchée devant l’hôpital régional, comme pour éviter d’éventuelles représailles de la famille de la victime. Celle-ci bénéficie du soutien des syndicats d’enseignants de Thiès et de tous ses parents.
La même source indique la famille de l’enseignante a saisi le parquet pour « tentative d’assassinat ».
Selon des informations rapportées par Sud FM, la victime, poignardée par le fils de son ex-mari, un gradé de la police nationale, se trouve à présent admise aux services de réanimation du centre hospitalier régional Ahmadou Sakhir Ndiéguene de Thiès. La famille et les syndicats d’enseignants de Thiès exigent la lumière et réclament justice.
Devant les services d’urgences de l’hôpital régional de Thiès, c’est une famille meurtrie qui est venue s’enquérir des nouvelles de leur fille sauvagement agressée. Excepté son oncle, Amadou Diallo, qui a réussi à lui chiper quelques mots de son lit d’hôpital, avant qu’elle ne soit admise à la réanimation, personne d’autre n’aurait des nouvelles de cette enseignante grièvement blessée.
Son bourreau, qui ne serait personne d’autre qu’un ancien militaire né en 1997, fils d’un gardé de la police qui serait l’ex-mari de l’enseignante, n’en serait pas à son premier forfait.
Selon les témoignages de la famille de l’enseignante, « il aurait, par le passé, incendié le véhicule de sa tante, sans compter les menaces de mort ». Les motivations restent encore inconnues.
Le mis en cause aurait pris la poudre d'escampette. Une thèse qui ne convainc pas la famille de l’enseignement, qui soupçonne le père de l’agresseur de chercher à le protéger.
D’après Sud FM, une forte surveillance policière est dépêchée devant l’hôpital régional, comme pour éviter d’éventuelles représailles de la famille de la victime. Celle-ci bénéficie du soutien des syndicats d’enseignants de Thiès et de tous ses parents.
La même source indique la famille de l’enseignante a saisi le parquet pour « tentative d’assassinat ».
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