En ce qui concerne le journalisme en tant que tel, est complexe, pour ce journaliste de profession. « Si on a une information, il faut dénicher qu’est ce qui est vrai et qu’est ce qui ne l’est pas. Il faut douter toujours d’une information qu’elle en soit la source. En tant que journaliste, quand on ne croit pas à quelque chose, il ne faut la publier », conseille Tidiane.
« Et malgré la concurrence, entre les sites d’information, il faut faire preuve de rigueur. Même si des erreurs glissent, il faut avoir l’honnêteté intellectuelle de corriger le plus rapidement possible. Il en va de vos crédibilités » dit le directeur de l’Institut international de journalisme basé à Washington USA - Sénégal.
Pour lui, il faut avoir le courage de citer les sources d’informations et se méfier des formules toutes faites, par exemples « selon nos sources, nos radars, etc ».
« Il faut être précis et relatif, surtout dans nos écrits. Par les expressions comme ‘’un meeting monstre, la salle est grande, on a fait notre atelier dans une salle commode’’. Ces exemples sont vides d’informations. Il nous faut éviter également les qualificatifs, il n’y a pas d’information dans les adjectifs », indique Kassé.
« Eviter encore les adverbes, l’utilisation des adverses dénaturent l’information et nous poussent à prendre position. Restons toujours nuancer », précise le journaliste consultant.
Pour la publication instantanée des résultats électoraux, il faut savoir « faire la différence entre résultats partiels et résultats définitifs » ; et en cas de fraude, « il faut toujours être prudent en recoupant les informations avant publication. Et ce n’est pas toutes les irrégularités ne sont pas nécessairement des fraudes électorales ».
Selon l’orateur, on doit toujours garder en mémoire que « des irrégularités ne sont pas toujours de nature à fausser le résultat de l’élection. La fraude doit être vérifiée et confirmée par plusieurs sources, et ne pas être sortie de son contexte ».
Envoyé spécial
« Et malgré la concurrence, entre les sites d’information, il faut faire preuve de rigueur. Même si des erreurs glissent, il faut avoir l’honnêteté intellectuelle de corriger le plus rapidement possible. Il en va de vos crédibilités » dit le directeur de l’Institut international de journalisme basé à Washington USA - Sénégal.
Pour lui, il faut avoir le courage de citer les sources d’informations et se méfier des formules toutes faites, par exemples « selon nos sources, nos radars, etc ».
« Il faut être précis et relatif, surtout dans nos écrits. Par les expressions comme ‘’un meeting monstre, la salle est grande, on a fait notre atelier dans une salle commode’’. Ces exemples sont vides d’informations. Il nous faut éviter également les qualificatifs, il n’y a pas d’information dans les adjectifs », indique Kassé.
« Eviter encore les adverbes, l’utilisation des adverses dénaturent l’information et nous poussent à prendre position. Restons toujours nuancer », précise le journaliste consultant.
Pour la publication instantanée des résultats électoraux, il faut savoir « faire la différence entre résultats partiels et résultats définitifs » ; et en cas de fraude, « il faut toujours être prudent en recoupant les informations avant publication. Et ce n’est pas toutes les irrégularités ne sont pas nécessairement des fraudes électorales ».
Selon l’orateur, on doit toujours garder en mémoire que « des irrégularités ne sont pas toujours de nature à fausser le résultat de l’élection. La fraude doit être vérifiée et confirmée par plusieurs sources, et ne pas être sortie de son contexte ».
Envoyé spécial