Eternel collaborateur de Macky Sall lors de son combat contre le régime de Wade pour sa propre survie, Alioune Fall dans un entretien avec « L’Observateur », s’est prononcé sur la ressemblance de l'affaire Khalifa Sall avec celle qui avait conduit Macky Sall hors du pouvoir en 2008.
Selon lui, ces deux cas ne présentent aucune similitude. « Macky Sall, on avait décidé de l’éliminer du jeu politique, sans avoir le moindre fait à lui reprocher », dit-il. Avant de faire un rappel à ceux qui, selon lui, étaient à la manœuvre à l’époque et qui se distinguent aujourd’hui dans le lot de ceux qui s’indignent et dénoncent, « qu’ils se regardent devant un miroir ».
« Mais j’ai surtout évoqué ces cas pour dire que ce n’est pas exact de prétendre que le Sénégal n’a jamais connu une affaire comme présentement en cours. Du flagrant délit continu qui avait permis d’arrêter les députés Abdoulaye Wade et Cie, sans se soucier d’immunité parlementaire, à l’incarcération d’Idrissa Seck qui venait de quitter le poste de Premier ministre et qui était toujours maire de Thiès. En passant par la séquestration suivie de torture du député Mody Sy, on a connu des affaires dans ce pays », peste Alioune Fall.
Il a aussi répondu à la réaction des partisans du maire de Dakar soutenant que l’affaire Khalifa Sall est une chasse aux sorcières, vu le nombre d’irrégularités judiciaires ayant escorté cette affaire qui serait pour beaucoup, simplement politique.
« Mois je ne suis pas qualifié pour dire ce qui relève de la régularité ou de l’irrégularité judicaire. C’est une affaire de spécialiste. Mais d’ici là, à ceux qui parlent d’affaire politique, je demande qu’on explique à l’opinion le recours à de fausse factures pour justifier la distraction mensuelle de 30 millions de F CFA de ressources publiques jusqu’à hauteur de 1,8 milliard », a lancé Monsieur Fall. Pour lui, il voit plus de pression sur la justice pour l’empêcher de faire son travail.
A en croire le conseiller du Président de la République, « Macky Sall ne connaît pas la peur dans l’adversité. Tous ces gens qu’on agite comme des épouvantails devant lui, mais ce sont des enfants de chœur comparés à Abdoulaye Wade. Cela est incontestable. Il y en a qui se prennent aujourd’hui pour King Kong qui, à l’époque du Président Wade, se terraient comme des rats et ne s’exprimaient qu’en chuchotant ».
Selon lui, ces deux cas ne présentent aucune similitude. « Macky Sall, on avait décidé de l’éliminer du jeu politique, sans avoir le moindre fait à lui reprocher », dit-il. Avant de faire un rappel à ceux qui, selon lui, étaient à la manœuvre à l’époque et qui se distinguent aujourd’hui dans le lot de ceux qui s’indignent et dénoncent, « qu’ils se regardent devant un miroir ».
« Mais j’ai surtout évoqué ces cas pour dire que ce n’est pas exact de prétendre que le Sénégal n’a jamais connu une affaire comme présentement en cours. Du flagrant délit continu qui avait permis d’arrêter les députés Abdoulaye Wade et Cie, sans se soucier d’immunité parlementaire, à l’incarcération d’Idrissa Seck qui venait de quitter le poste de Premier ministre et qui était toujours maire de Thiès. En passant par la séquestration suivie de torture du député Mody Sy, on a connu des affaires dans ce pays », peste Alioune Fall.
Il a aussi répondu à la réaction des partisans du maire de Dakar soutenant que l’affaire Khalifa Sall est une chasse aux sorcières, vu le nombre d’irrégularités judiciaires ayant escorté cette affaire qui serait pour beaucoup, simplement politique.
« Mois je ne suis pas qualifié pour dire ce qui relève de la régularité ou de l’irrégularité judicaire. C’est une affaire de spécialiste. Mais d’ici là, à ceux qui parlent d’affaire politique, je demande qu’on explique à l’opinion le recours à de fausse factures pour justifier la distraction mensuelle de 30 millions de F CFA de ressources publiques jusqu’à hauteur de 1,8 milliard », a lancé Monsieur Fall. Pour lui, il voit plus de pression sur la justice pour l’empêcher de faire son travail.
A en croire le conseiller du Président de la République, « Macky Sall ne connaît pas la peur dans l’adversité. Tous ces gens qu’on agite comme des épouvantails devant lui, mais ce sont des enfants de chœur comparés à Abdoulaye Wade. Cela est incontestable. Il y en a qui se prennent aujourd’hui pour King Kong qui, à l’époque du Président Wade, se terraient comme des rats et ne s’exprimaient qu’en chuchotant ».