1. de leaders: et donc de joueurs capables de fédérer un groupe hors et sur le terrain. Papy Henry qui ne fait pas de résistance, Gallas absent, Toulalan autiste, Anelka soliste… Etre capitaine à Manchester avec Ferguson au cul et Rooney ou Giggs qui donnent l’exemple, c’est pas la même chose, Patrice.
2. de grands joueurs: l’équipe de France n’a jamais fait de grandes compétitions sans un grand joueur pour la mener. Aujourd’hui, ne cherchez pas. Et dire qu’on a de grands joueurs qui jouent dans les meilleurs clubs, c’est se cacher derrière son petit doigt. Lequel d’entre eux figurerait de près ou de loin aujourd’hui dans un 11 mondial ? Et si l’équipe de France était à sa place…
3. de forme: Gallas sur une jambe, Abidal qui n’a pas joué la moitié de la saison, idem pour Ribery, Gourcuff à la peine, Govou cuit au bout de 30 (et encore) minutes. Un groupe surement préparé physiquement pour le 2eme tour, mais il n’y en aura pas. C’est ce qu’on appelle la jurisprudence Jospin.
4. d’humilité: Domenech avait dit qu’il mettrait des coups de fusils aux joueurs qui ne mettraient pas leur ego de côté. Visiblement il n’a pas trouvé les balles.
5. d’envie: Anelka qui marche au bout de 10 minutes, Ribery qui veut sauver la patrie tout seul, une quasi élimination sans révolte… Avant de jouer une coupe du monde, il faut en avoir rêvé. Mais quand tu l’as gagné des dizaines de fois sur PES, c’est plus pareil visiblement.
6. de choix tactiques cohérents: Raymond le fin stratège n’aura innové que pendant les conférences de presse en 6 ans de sélection. Au final on a toujours pas compris sa vision et lui non plus. Ne demandez pas à Govou non plus, il cherche.
7. d’un groupe: Evra disait "Le groupe vit bien". Oui Patrice, oui. Tellement bien. Et ça finit par "on n’a pas été une grande équipe sur le terrain". Qu’il se rassure, en dehors non plus.
8. de solidarité: "on vit ensemble, et Gourcuff meurt ensemble".
9. de résultats: à quand remonte le dernier bon match de l’équipe de France ? Quand on perd l’habitude de gagner, on se contente de jolis nuls. Et on excuse une défaite contre la Chine.
10. de clairvoyance: Evra voyait "des signes qui ne trompent pas à l’entrainement", Raymondo donnait sérieusement rendez-vous le 11 juillet et pense que "tout a basculé sur un coup du sort"... Et Christian Jeanpierre qui fait du Mexique une grande équipe, ça fait beaucoup. Les bleus sont surement à leur place. Bien au fond.
Et vous, vous en voyez d’autres ?
2. de grands joueurs: l’équipe de France n’a jamais fait de grandes compétitions sans un grand joueur pour la mener. Aujourd’hui, ne cherchez pas. Et dire qu’on a de grands joueurs qui jouent dans les meilleurs clubs, c’est se cacher derrière son petit doigt. Lequel d’entre eux figurerait de près ou de loin aujourd’hui dans un 11 mondial ? Et si l’équipe de France était à sa place…
3. de forme: Gallas sur une jambe, Abidal qui n’a pas joué la moitié de la saison, idem pour Ribery, Gourcuff à la peine, Govou cuit au bout de 30 (et encore) minutes. Un groupe surement préparé physiquement pour le 2eme tour, mais il n’y en aura pas. C’est ce qu’on appelle la jurisprudence Jospin.
4. d’humilité: Domenech avait dit qu’il mettrait des coups de fusils aux joueurs qui ne mettraient pas leur ego de côté. Visiblement il n’a pas trouvé les balles.
5. d’envie: Anelka qui marche au bout de 10 minutes, Ribery qui veut sauver la patrie tout seul, une quasi élimination sans révolte… Avant de jouer une coupe du monde, il faut en avoir rêvé. Mais quand tu l’as gagné des dizaines de fois sur PES, c’est plus pareil visiblement.
6. de choix tactiques cohérents: Raymond le fin stratège n’aura innové que pendant les conférences de presse en 6 ans de sélection. Au final on a toujours pas compris sa vision et lui non plus. Ne demandez pas à Govou non plus, il cherche.
7. d’un groupe: Evra disait "Le groupe vit bien". Oui Patrice, oui. Tellement bien. Et ça finit par "on n’a pas été une grande équipe sur le terrain". Qu’il se rassure, en dehors non plus.
8. de solidarité: "on vit ensemble, et Gourcuff meurt ensemble".
9. de résultats: à quand remonte le dernier bon match de l’équipe de France ? Quand on perd l’habitude de gagner, on se contente de jolis nuls. Et on excuse une défaite contre la Chine.
10. de clairvoyance: Evra voyait "des signes qui ne trompent pas à l’entrainement", Raymondo donnait sérieusement rendez-vous le 11 juillet et pense que "tout a basculé sur un coup du sort"... Et Christian Jeanpierre qui fait du Mexique une grande équipe, ça fait beaucoup. Les bleus sont surement à leur place. Bien au fond.
Et vous, vous en voyez d’autres ?