Lawary Garba, Chef de Division Recherche Agricole Production et Durabilité à la Banque Africain de Développement (BAD) a déclaré que l'Afrique est un continent où l’agriculture représente 60 à 80 % de l’économie. Il se prononçait à l’occasion de la première édition de la Foire des Technologies de l’Afrique de l’Ouest, ouverte ce lundi à Dakar. L’objectif principal est de promouvoir les technologies de pointe nécessaires à la transformation de l’agriculture ouest-africaine. Selon lui, il faut faciliter l’accès aux technologies, pour pouvoir lutter contre la pauvreté, et d’assurer un développement durable en Afrique. Il précise que la BAD a une ambition d’investir chaque année à hauteur de 4 milliards de Dollars en Afrique.
« La Banque Africain de développement dès 2016, s’est dotée d’une stratégie qui vise la transformation de l’agriculture africaine que nous avons intitulé nourrir l’Afrique. Nous avons un continent qui pour tous les pays, l’agriculture représente 60 à 80 % de l’économie. Nous savons aussi selon les pays, près de 80 % de la population qui chaque jour se retrouve aux champs. Si on prend par rapport à l’aspect technologique, vous prenez ce qui se passe en occident, que ce soit en Amérique du Nord ou en Europe, vous avez moins de 5 % de la population qui pratique l’agriculture. Et qui arrive à se nourrir, qui a inondé le monde. Et nous nous avons une population qui va chaque jour aux champs et qui n’arrive pas à se nourrir. Ce qui fait la différence, c’est l’accès aux technologies », a fait savoir Lawary Garba, Chef de Division Recherche Agricole Production et Durabilité à la BAD.
Selon lui, tant que nous n’arriverons pas à faciliter l’accès aux technologies, il serait difficile, véritablement d’avoir la sécurité alimentaire. « Tant que nous n’arriverons pas à faciliter l’accès aux technologies, à nos producteurs, notamment 80 % des producteurs, il serait difficile de lutter contre la pauvreté, et d’assurer un développement durable en Afrique. Donc, l’accès aux technologies, c’est vraiment la clé du développement en Afrique, de la sécurité alimentaire, et surtout de la lutte contre la pauvreté. C’est dans ce sens que la Banque Africain de Développement a fait de ça, une de ses priorités », dit-il.
Poursuivant ses propos, M. Garba ajoute : « Aujourd’hui si on prend le Sahel dans le contexte de l’Afrique de l’Ouest, par exemple pouvoir accéder à des semences améliorées, qui sont résistante à la chaleur, cela fait la différence. Vous avez aussi la question de comment économiser l’eau. Nous sommes dans un contexte ou véritablement s’assurer que nous avons des technologies qui puissent permettre de rationaliser. Nous devons aussi avoir accès à des technologies pour mieux lutter contre les maladies. Ce qui est important, c’est de montrer que des programmes existent qui ont fait leurs preuves avec des programmes palpables selon les pays où on a pu rapidement doubler la production ».
Interpellé sur la manne financière, qui doit être dégagée par la BAD, Lawary Garba soutient que depuis 2016, la BAD a une ambition d’investir à chaque année à hauteur de 4 milliards de Dollars en Afrique. « Depuis 2016, nous avons une ambition, c’est d’être capable d’investir à chaque année à hauteur de 4 milliards de Dollars en Afrique. Et l’a, nous somme dans une deuxième phase où nous voulons de manière systématique que tous les projets de la BAD puissent intégrer systématiquement les nouvelles technologies. Nous sommes aussi en train de voir comment accélérer le déploiement des technologies agricoles en Afrique », a-t-il évoqué.
« La Banque Africain de développement dès 2016, s’est dotée d’une stratégie qui vise la transformation de l’agriculture africaine que nous avons intitulé nourrir l’Afrique. Nous avons un continent qui pour tous les pays, l’agriculture représente 60 à 80 % de l’économie. Nous savons aussi selon les pays, près de 80 % de la population qui chaque jour se retrouve aux champs. Si on prend par rapport à l’aspect technologique, vous prenez ce qui se passe en occident, que ce soit en Amérique du Nord ou en Europe, vous avez moins de 5 % de la population qui pratique l’agriculture. Et qui arrive à se nourrir, qui a inondé le monde. Et nous nous avons une population qui va chaque jour aux champs et qui n’arrive pas à se nourrir. Ce qui fait la différence, c’est l’accès aux technologies », a fait savoir Lawary Garba, Chef de Division Recherche Agricole Production et Durabilité à la BAD.
Selon lui, tant que nous n’arriverons pas à faciliter l’accès aux technologies, il serait difficile, véritablement d’avoir la sécurité alimentaire. « Tant que nous n’arriverons pas à faciliter l’accès aux technologies, à nos producteurs, notamment 80 % des producteurs, il serait difficile de lutter contre la pauvreté, et d’assurer un développement durable en Afrique. Donc, l’accès aux technologies, c’est vraiment la clé du développement en Afrique, de la sécurité alimentaire, et surtout de la lutte contre la pauvreté. C’est dans ce sens que la Banque Africain de Développement a fait de ça, une de ses priorités », dit-il.
Poursuivant ses propos, M. Garba ajoute : « Aujourd’hui si on prend le Sahel dans le contexte de l’Afrique de l’Ouest, par exemple pouvoir accéder à des semences améliorées, qui sont résistante à la chaleur, cela fait la différence. Vous avez aussi la question de comment économiser l’eau. Nous sommes dans un contexte ou véritablement s’assurer que nous avons des technologies qui puissent permettre de rationaliser. Nous devons aussi avoir accès à des technologies pour mieux lutter contre les maladies. Ce qui est important, c’est de montrer que des programmes existent qui ont fait leurs preuves avec des programmes palpables selon les pays où on a pu rapidement doubler la production ».
Interpellé sur la manne financière, qui doit être dégagée par la BAD, Lawary Garba soutient que depuis 2016, la BAD a une ambition d’investir à chaque année à hauteur de 4 milliards de Dollars en Afrique. « Depuis 2016, nous avons une ambition, c’est d’être capable d’investir à chaque année à hauteur de 4 milliards de Dollars en Afrique. Et l’a, nous somme dans une deuxième phase où nous voulons de manière systématique que tous les projets de la BAD puissent intégrer systématiquement les nouvelles technologies. Nous sommes aussi en train de voir comment accélérer le déploiement des technologies agricoles en Afrique », a-t-il évoqué.