Pour réunir toute la classe politique sénégalaise autour d'une loi électorale transparente et consensuelle, le Gradec promet de ne jamais lâcher le morceau. « Nous de GRADEC, nous nous ne lâcherons jamais de travailler à créer les conditions pour faciliter le dialogue des différents acteurs politiques. C’est la raison pour laquelle nous avions tenu au mois de novembre et décembre deux (2) Forums sur la gestion des opérations électorales », a déclaré Ababacar Fall, Secrétaire général du Groupe de recherche et d’appui-conseil pour la démocratie participative et la bonne gouvernance (GRADEC), face à la presse ce mardi, lors de la troisième édition du Forum des partis politiques.
« Nous allons discuter des réformes qu'on doit opérer dans notre Code électoral. On a l’habitude de parler du Code électoral consensuel de 92. Mais depuis lors, ce Code à subi beaucoup de changement. Pour nous, il faut engager le débat sur les réformes qu'il faut introduire dans notre loi électorale pour qu'on puisse aller vers des élections plus transparentes, plus consensuelles. C’est ça l’objet de cette rencontre », dit-il.
« Nous allons discuter des réformes qu'on doit opérer dans notre Code électoral. On a l’habitude de parler du Code électoral consensuel de 92. Mais depuis lors, ce Code à subi beaucoup de changement. Pour nous, il faut engager le débat sur les réformes qu'il faut introduire dans notre loi électorale pour qu'on puisse aller vers des élections plus transparentes, plus consensuelles. C’est ça l’objet de cette rencontre », dit-il.
Ababacar Fall de préciser que le GRADEC veut nourrir la réflexion et donner aux acteurs suffisamment de matière pour nourrir, entretenir les débats.
« Vous savez notre pays sort des élections qui ont été gagnées par un candidat. Il y a d’autres candidats qui ont compéti avec lui. Même s’ils n’ont pas déposé de recours, ils ont contesté. Cela a créé dans le pays un certains climat de méfiance de suspicion. Et cette fois-ci, après l’élection, nous engageons d’autres concertations avec les acteurs politiques, pour discuter du modèle institutionnel qu'il nous faut », a-t-il informé.
Poursuivant sa réaction, il ajoute : « Un peu avant les élections, le débat était très personnalisé, centré autour de la personne qui doit organiser les élections. Centré autour du ministre de l'Intérieur, parce qu'il est partisan. Nous avons dépassé cette situation. Nous devons aujourd’hui poser la réflexion sur ce qui est mieux pour notre démocratie ».
« Vous savez notre pays sort des élections qui ont été gagnées par un candidat. Il y a d’autres candidats qui ont compéti avec lui. Même s’ils n’ont pas déposé de recours, ils ont contesté. Cela a créé dans le pays un certains climat de méfiance de suspicion. Et cette fois-ci, après l’élection, nous engageons d’autres concertations avec les acteurs politiques, pour discuter du modèle institutionnel qu'il nous faut », a-t-il informé.
Poursuivant sa réaction, il ajoute : « Un peu avant les élections, le débat était très personnalisé, centré autour de la personne qui doit organiser les élections. Centré autour du ministre de l'Intérieur, parce qu'il est partisan. Nous avons dépassé cette situation. Nous devons aujourd’hui poser la réflexion sur ce qui est mieux pour notre démocratie ».
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