Le regroupement des taximen de Dakar a encore effectué une sortie pour manifester son mécontentement. Après leur marche organisée le 5 février dernier au niveau du Centenaire, ces chauffeurs de taxi ont fait fasse à la presse cette après-midi. Ils rappellent aux autorités leurs points de revendications à savoir : l’affichage des contraventions dans tous les bureaux de la police ou de la gendarmerie, entre autres. Ils demandent à leur ministère tutelle de les associer à la table des négociations. Car, disent-ils, « ne dépendre plus des syndicalistes ou des secrétaires généraux », qui pour eux sont là, que pour leurs intérêts. Ils décident désormais de mener leur propre combat. Pour eux, ils sont les vrais acteurs.
Malick Diop, chargé de la communication de l’association des «taximen» de Dakar, d'expliquer « nous avons tenu cette conférence de presse pour rappeler aux autorités de ce pays, des points de revendications que nous avons mis en place depuis le 5 février. Il s’agit d’afficher les contraventions dans tous les bureaux de la police ou de la gendarmerie, d’élargir les routes interurbaines pour une meilleure sécurisation des transports, nous voulons que les tracasseries routières cessent ».
Il rappelle que : « le ministère des Transports routiers avait initié certaines réformes sur les transports. Et nous avons constaté que jusqu’à présent, nous n’avons pas été associés sur les différentes causeries que le ministère avait faites avec les transporteurs. Et ça, nous le jugeons anormal. Car, nous sommes des acteurs qui sommes sur le terrain, et nous travaillons tous les jours. Ainsi, nous avons jugé très normales de nous associer à les tables des négociation pour trouver une solution à nos revendications ».
Malick Diop a aussi évoqué le problème de l’autoroute à péage qui pour lui, « les prix sont très élevés ». Il demande à ce que les prix soient diminués.
A en croire M. Diop, « nous subissons souvent des tracasseries surtout avec les agents de la route. Vraiment, nous les jugeons anormales. Et nous interpellons les autorités de ce pays à prendre des mesures. Nous sommes des honnêtes citoyen qui travaillent pour gagner leur vie et qui participe également au développement de ce pays ».
Il a fait savoir : "on ne dépend plus des syndicalistes ou des secrétaires généraux. Nous menons à notre façon notre lutte. Nous comptons mener toute forme de lutte, pour pousser les autorités à nous venir en aide, de revoir leur système de gérer le transport en général ».
Les taximen disent n’écarter aucune forme de lutte pour pousser les autorités à réagir.
Malick Diop, chargé de la communication de l’association des «taximen» de Dakar, d'expliquer « nous avons tenu cette conférence de presse pour rappeler aux autorités de ce pays, des points de revendications que nous avons mis en place depuis le 5 février. Il s’agit d’afficher les contraventions dans tous les bureaux de la police ou de la gendarmerie, d’élargir les routes interurbaines pour une meilleure sécurisation des transports, nous voulons que les tracasseries routières cessent ».
Il rappelle que : « le ministère des Transports routiers avait initié certaines réformes sur les transports. Et nous avons constaté que jusqu’à présent, nous n’avons pas été associés sur les différentes causeries que le ministère avait faites avec les transporteurs. Et ça, nous le jugeons anormal. Car, nous sommes des acteurs qui sommes sur le terrain, et nous travaillons tous les jours. Ainsi, nous avons jugé très normales de nous associer à les tables des négociation pour trouver une solution à nos revendications ».
Malick Diop a aussi évoqué le problème de l’autoroute à péage qui pour lui, « les prix sont très élevés ». Il demande à ce que les prix soient diminués.
A en croire M. Diop, « nous subissons souvent des tracasseries surtout avec les agents de la route. Vraiment, nous les jugeons anormales. Et nous interpellons les autorités de ce pays à prendre des mesures. Nous sommes des honnêtes citoyen qui travaillent pour gagner leur vie et qui participe également au développement de ce pays ».
Il a fait savoir : "on ne dépend plus des syndicalistes ou des secrétaires généraux. Nous menons à notre façon notre lutte. Nous comptons mener toute forme de lutte, pour pousser les autorités à nous venir en aide, de revoir leur système de gérer le transport en général ».
Les taximen disent n’écarter aucune forme de lutte pour pousser les autorités à réagir.