Ce dernier membre de l’Ordre des médecins avait alerté sur le « risque de mort subite » qui plane sur le patron de AHS et EDEN ROC dont « l’arythmie ventriculaire et la nécrose étendue en plus d’autres complications liées à une insuffisance cardiaque et des troubles de conduction ou de récidives d’infarctus du myocarde sont incompatibles avec le milieu carcéral même dans un centre hospitalier comme le pavillon spécial Aristide Le Dantec ».
A cet effet, ses avocats vont déposer une demande de liberté provisoire sur la table du juge Cheikh Tidiane Béye. Et ce, dés aujourd’hui, livre le journal « L’As ».
Mis sous mandat de dépôt depuis le 17 avril dernier, Bibo Bourgi avait passé sa première nuit en prison à l’infirmerie de Rebeuss avant d’être évacué au niveau du pavillon spécial Aristide Le Dantec avec ses co-détenus, Mbaye Ndiaye et Alioune Samba Diassé et où, il a frôlé la mort en piquant tout dernièrement une crise vers les coups de 03 heures du matin.
Affaire à suivre