Pour le responsable de la section SYNPICS de la RTS, « c’est un cri de détresse qui est lancé à l’endroit du président de la République sur qui ces travailleurs portaient beaucoup d’espérances. Mais aujourd’hui nous sommes entrain de devenir les premiers déçus de la dernière alternance politique. Les problèmes de ces deux entreprises tournent autour d’un endettement excessif insupportable, des contentieux avec des fournisseurs, des travailleurs qui ne reçoivent pas leurs frais de missions, l’IMP qui court derrière des cotisations sociales avec des soupçons de détournement car l’argent étant déjà prélevé sur les salaires, un personnel pléthorique à ne rien faire, un recrutement nébuleux, des nominations de complaisance… ».
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