Le comportement des chinois a semé la grogne au sein des populations de Matam qui voient ainsi leur rêve d’édifier des ponts dans leur ville s’évaporer. En plus de la déception de constater que les travaux n’ont pas démarré comme prévu, à la fin de l’hivernage, les habitants de Matam ont eu la surprise de voir l’entreprise chinoise embarquer son matériel vers Fanaye, dans le département de Podor , pour l’achèvement d’autres travaux. Selon la RFM, ce geste des chinois a installé les matamois dans un courroux indescriptible.