Du nouveau dans l'affaire des arrestations de Fadilou Keita le coordonnateur du Nemmeku Tour, membre du cabinet de l’opposant Ousmane Sonko, et du rappeur NitDoff. D'après nos confrères de Libération le premier nommé a été entendu, jeudi par le Doyen des juges, Maham Diallo.
Le journal rapporte qu’après cette deuxième interrogation, Me Cheikh Khoureyssi Ba a déposé, une demande de mise en liberté provisoire qui pourrait avoir une suite favorable, pour le compte du mis en cause.
Le fils de Nafy Ngom Keïta, ex-présidente de l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac), a été arrêté le 7 décembre dernier sur ordre du Procureur. Il lui est reproché d’avoir “accusé ouvertement l’État du Sénégal d’avoir fait disparaître les deux gendarmes Didier Badji et Fulbert Sambou avant de maquiller leur mort en noyade au Cap manuel”.
Entendu le 20 janvier dernier, il a été extrait de sa cellule 3 trois jours plus tard, le 23 janvier, pour une nouvelle inculpation. Celle relative aux “manœuvres et actes de nature à compromettre la sécurité publique ou à occasionner des troubles politiques graves”. Un délit relatif à l’article 80.
On apprend par la même source qu’après Fadilou Keïta, ce sera au tour du rappeur Nitt Doff, interpellé le 18 janvier dernier à son domicile avant d’être inculpé le 24 janvier pour "diffusion de fausses nouvelles, outrage aux magistrats et menaces de mort sur les autorités judiciaires". Nitt Doff, Mor Talla Gueye à l’état civil, est, lui, programmé la semaine prochaine. Une requête de mise en liberté provisoire sera aussi déposée sur la table du magistrat instructeur.
Le journal rapporte qu’après cette deuxième interrogation, Me Cheikh Khoureyssi Ba a déposé, une demande de mise en liberté provisoire qui pourrait avoir une suite favorable, pour le compte du mis en cause.
Le fils de Nafy Ngom Keïta, ex-présidente de l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac), a été arrêté le 7 décembre dernier sur ordre du Procureur. Il lui est reproché d’avoir “accusé ouvertement l’État du Sénégal d’avoir fait disparaître les deux gendarmes Didier Badji et Fulbert Sambou avant de maquiller leur mort en noyade au Cap manuel”.
Entendu le 20 janvier dernier, il a été extrait de sa cellule 3 trois jours plus tard, le 23 janvier, pour une nouvelle inculpation. Celle relative aux “manœuvres et actes de nature à compromettre la sécurité publique ou à occasionner des troubles politiques graves”. Un délit relatif à l’article 80.
On apprend par la même source qu’après Fadilou Keïta, ce sera au tour du rappeur Nitt Doff, interpellé le 18 janvier dernier à son domicile avant d’être inculpé le 24 janvier pour "diffusion de fausses nouvelles, outrage aux magistrats et menaces de mort sur les autorités judiciaires". Nitt Doff, Mor Talla Gueye à l’état civil, est, lui, programmé la semaine prochaine. Une requête de mise en liberté provisoire sera aussi déposée sur la table du magistrat instructeur.
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