Moustapha Diakhaté, ancien président du groupe parlementaire de la coalition Benno Bokk Yakaar, comparaît ce jeudi 28 novembre en flagrant délit. Placé sous mandat de dépôt lundi soir, à l’issue de son audition par le procureur, l’ancien député assume pleinement ses déclarations controversées.
Au cœur de la polémique, une expression qu’il a utilisée, "Askan bou alkou", qu’il a expliqué comme une référence aux "électeurs dupés".
Interpellé sur la portée de ses propos, Moustapha Diakhaté a maintenu fermement sa position, rejetant toute idée de rétractation.
"Je ne reviendrai pas sur mes propos", a-t-il affirmé au enquêteurs tout en soulignant qu’il ne se considère pas responsable de la viralité de ses déclarations sur les réseaux sociaux.
Au cœur de la polémique, une expression qu’il a utilisée, "Askan bou alkou", qu’il a expliqué comme une référence aux "électeurs dupés".
Interpellé sur la portée de ses propos, Moustapha Diakhaté a maintenu fermement sa position, rejetant toute idée de rétractation.
"Je ne reviendrai pas sur mes propos", a-t-il affirmé au enquêteurs tout en soulignant qu’il ne se considère pas responsable de la viralité de ses déclarations sur les réseaux sociaux.
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