Alioune B., un livreur de 23 ans, a été condamné à deux ans de prison avec sursis par le tribunal des flagrants délits de Dakar pour détention d’images contraires aux bonnes mœurs. Le jeune homme avait menacé de diffuser des vidéos intimes de ses rencontres avec son ancienne compagne, âgée de 35 ans, après leur séparation, rapporte le journal L'Observateur.
Selon les détails de l’affaire, la relation entre Alioune B. et Fatou Ba aurait été marquée par de nombreuses rencontres intimes, souvent filmées et échangées entre les deux partenaires. Après plusieurs mois, Fatou Ba aurait décidé de mettre fin à cette liaison, une décision qui aurait provoqué la colère d’Alioune B., le poussant à menacer de publier ces enregistrements.
Lors de son audition, l’accusé a reconnu en partie avoir proféré ces menaces, mais a tenté de se justifier en accusant Fatou Ba de l’avoir harcelé : « Je n’arrivais plus à suivre le rythme de Fatou, qui est accro au sexe. Je voulais qu’elle me laisse tranquille. Elle venait chez moi à des heures tardives et me forçait à avoir des relations avec elle. C’est elle qui filmait, parfois même elle se photographiait nue pour m’envoyer les images », a-t-il déclaré à la barre.
Malgré sa tentative de se disculper, le tribunal a écarté une partie de ses explications et n’a retenu ni les accusations de collecte illicite de données personnelles ni celles de menaces de mort. Alioune B. a ainsi été condamné à deux ans de prison avec sursis pour détention d’images contraires aux bonnes mœurs.
Selon les détails de l’affaire, la relation entre Alioune B. et Fatou Ba aurait été marquée par de nombreuses rencontres intimes, souvent filmées et échangées entre les deux partenaires. Après plusieurs mois, Fatou Ba aurait décidé de mettre fin à cette liaison, une décision qui aurait provoqué la colère d’Alioune B., le poussant à menacer de publier ces enregistrements.
Lors de son audition, l’accusé a reconnu en partie avoir proféré ces menaces, mais a tenté de se justifier en accusant Fatou Ba de l’avoir harcelé : « Je n’arrivais plus à suivre le rythme de Fatou, qui est accro au sexe. Je voulais qu’elle me laisse tranquille. Elle venait chez moi à des heures tardives et me forçait à avoir des relations avec elle. C’est elle qui filmait, parfois même elle se photographiait nue pour m’envoyer les images », a-t-il déclaré à la barre.
Malgré sa tentative de se disculper, le tribunal a écarté une partie de ses explications et n’a retenu ni les accusations de collecte illicite de données personnelles ni celles de menaces de mort. Alioune B. a ainsi été condamné à deux ans de prison avec sursis pour détention d’images contraires aux bonnes mœurs.