Au Tribunal des flagrants délits de Dakar, M. Amar, une femme de ménage âgée de 21 ans, a comparu pour des accusations de vol par son employeur, un homme d'affaires établi au centre-ville. Les faits allégués remontent il y a six mois. Selon L'Observateur, l'affaire a récemment pris une tournure judiciaire après la découverte de la disparition de la rondelette somme de 12 millions de FCFA destinée aux taxes de l'entreprise de l'employeur.
Lors de son témoignage à la barre, la mise en cause a contesté les accusations portées contre elle. Elle a affirmé que "son employeur, avec qui elle entretenait une relation intime non divulguée, lui avait donné l'accès au coffre-fort et l'autorisait à prendre de l'argent selon ses besoins." Cependant, les choses ont pris une tournure négative lorsque M. Amar aurait refusé les avances sexuelles de son patron, ce qui aurait déclenché sa colère et l'accusation de vol.
Malgré ses dénégations et sa défense selon laquelle son patron aurait monté de toutes pièces cette affaire pour se venger de son refus, les preuves accumulées lors de l'enquête semblent accablantes. Les enquêteurs ont découvert des transactions financières significatives effectuées par la bonne, y compris l'achat d'une voiture de marque Ford pour 6 millions de FCfa et divers transferts d'argent.
Le Procureur de la République a requis une peine de 2 ans de prison, dont 1 an ferme, ainsi que la restitution du véhicule à la partie civile.
La décision du tribunal est attendue le 23 juin.
Lors de son témoignage à la barre, la mise en cause a contesté les accusations portées contre elle. Elle a affirmé que "son employeur, avec qui elle entretenait une relation intime non divulguée, lui avait donné l'accès au coffre-fort et l'autorisait à prendre de l'argent selon ses besoins." Cependant, les choses ont pris une tournure négative lorsque M. Amar aurait refusé les avances sexuelles de son patron, ce qui aurait déclenché sa colère et l'accusation de vol.
Malgré ses dénégations et sa défense selon laquelle son patron aurait monté de toutes pièces cette affaire pour se venger de son refus, les preuves accumulées lors de l'enquête semblent accablantes. Les enquêteurs ont découvert des transactions financières significatives effectuées par la bonne, y compris l'achat d'une voiture de marque Ford pour 6 millions de FCfa et divers transferts d'argent.
Le Procureur de la République a requis une peine de 2 ans de prison, dont 1 an ferme, ainsi que la restitution du véhicule à la partie civile.
La décision du tribunal est attendue le 23 juin.