Ce prolongement a été décidé par le chef de l'Etat Béji Caïd Essebsi "après des consultations avec le chef du gouvernement et le président de l'Assemblée des représentants du peuple", a indiqué une source à la présidence tunisienne.
La prolongation de cette mesure d'exception est nécessaire en raison de "la poursuite de la guerre contre le terrorisme".
Cet état d'urgence octroie des pouvoirs d'exception aux forces de l'ordre. Il permet aussi l'interdiction des grèves et des réunions.
Cette mesure est en vigueur depuis un attentat contre la garde présidentielle le 24 novembre 2015 au centre de Tunis. Douze agents avaient été tués dans cette attaque revendiquée par le groupe Etat islamique (EI). Deux autres attaques majeures revendiquées par le même groupe avaient eu lieu en mars et juin 2015 au musée du Bardo à Tunis, sur une plage et dans un hôtel de Sousse. Soixante personnes, dont 59 touristes étrangers, avaient été tuées.
Les autorités affirment avoir fait "des pas importants dans la guerre
contre le terrorisme" mais appellent toujours à la vigilance.
La prolongation de cette mesure d'exception est nécessaire en raison de "la poursuite de la guerre contre le terrorisme".
Cet état d'urgence octroie des pouvoirs d'exception aux forces de l'ordre. Il permet aussi l'interdiction des grèves et des réunions.
Cette mesure est en vigueur depuis un attentat contre la garde présidentielle le 24 novembre 2015 au centre de Tunis. Douze agents avaient été tués dans cette attaque revendiquée par le groupe Etat islamique (EI). Deux autres attaques majeures revendiquées par le même groupe avaient eu lieu en mars et juin 2015 au musée du Bardo à Tunis, sur une plage et dans un hôtel de Sousse. Soixante personnes, dont 59 touristes étrangers, avaient été tuées.
Les autorités affirment avoir fait "des pas importants dans la guerre
contre le terrorisme" mais appellent toujours à la vigilance.