Une violente explosion a retenti à Ankara près de logements militaires, rapporte une télévision turque.
Au moins 5 morts
Selon la chaîne de télévision NTV, l'explosion s'est produite alors que passait une fourgonnette transportant des militaires.
Selon le gouverneur de la ville, il y aurait au moins 5 morts et 10 blessés. De nombreuses ambulances ont été envoyées sur les lieux de l'explosion.
Il s'agit d'un acte terroriste, dit par ailleurs sur Twitter un porte-parole du Parti pour la justice et le développement (AKP), au pouvoir. Le Premier ministre Ahmet Davutoglu a décidé de différer son départ pour Bruxelles, ont annoncé ses services.
La Turquie prise pour cible
Le 16 janvier dernier, un attentat suicide, attribué à l'EI par le gouvernement turc, avait visé des voyageurs allemands dans le quartier touristique de Sultanahmet à Istanbul, tuant dix d'entre eux.
Une double explosion à Ankara avait retenti en octobre 2015, faisant 103 morts, près de trois mois après un attentat suicide perpétré le 20 juillet à Suruç, près de la frontière syrienne, attribué à Daesh, qui avait fait 33 morts parmi des militants de la cause pro-kurde.
Au moins 5 morts
Selon la chaîne de télévision NTV, l'explosion s'est produite alors que passait une fourgonnette transportant des militaires.
Selon le gouverneur de la ville, il y aurait au moins 5 morts et 10 blessés. De nombreuses ambulances ont été envoyées sur les lieux de l'explosion.
Il s'agit d'un acte terroriste, dit par ailleurs sur Twitter un porte-parole du Parti pour la justice et le développement (AKP), au pouvoir. Le Premier ministre Ahmet Davutoglu a décidé de différer son départ pour Bruxelles, ont annoncé ses services.
La Turquie prise pour cible
Le 16 janvier dernier, un attentat suicide, attribué à l'EI par le gouvernement turc, avait visé des voyageurs allemands dans le quartier touristique de Sultanahmet à Istanbul, tuant dix d'entre eux.
Une double explosion à Ankara avait retenti en octobre 2015, faisant 103 morts, près de trois mois après un attentat suicide perpétré le 20 juillet à Suruç, près de la frontière syrienne, attribué à Daesh, qui avait fait 33 morts parmi des militants de la cause pro-kurde.